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Espagne : Français et achats immobiliers

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Article rédigé par franceinfo
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Or, cette construction, comme quelques autres, est illégale.

Au 26e étage de cet immeuble de Pékin, cette extravagante demeure sera bientôt rasée. L'épilogue de 6 ans de combat. Sur cette folie de 1000 m2, des rochers enserrent une maison, une mare à poissons, des arbres, des buissons. Son propriétaire n'a jamais eu de permis de construire. Ses voisins se plaignaient de fissures dans l'immeuble et de fuites d'eau.

Tout peut s'écrouler. C'était peut-être conçu pour supporter un certain poids. Beaucoup de constructions ont été ajoutées.

Cette histoire de voisinage a fini par trouver un écho. De plus en plus de Chinois sont exaspérés par les passe-droits dont bénificient les riches.

Pourquoi rien n'a changé auparavant ? Beaucoup disent que le propriétaire est influent.

Le propriétaire est un chef d'entreprise, il fait aussi de la politique. Ce sésame ne lui suffit plus. Cet officier de police placarde sur sa porte d'entrée un ordre de destruction sous 15 jours. Déjà, des ouvriers apparaissent sur le toit. Cette démolition est un succès pour les internautes chinois. Sans les réseaux sociaux qui se sont emparés de l'affaire, la pression des habitants de ce quartier n'aurait pas suffit. Une question de rapport de force.

Chaque année, plus de 1,5 million enfants partent en colonie de vacances. L'occasion, pour 500 E la semaine, de pratiquer de multiples activités et d'apprendre la vie en communauté, loin de l'autorité parentale. C'est l"'Immersion" de ce journal.

A 8 ans, Victor s'apprête à partir à l'aventure. Il quitte Paris demain pour passer une semaine en colonie de vacances, sans papa ni maman et c'est une première pour lui.

La liste : short, bermuda.

A quelques heures du départ, c'est la maman qui se pose des questions.

Comment se déroule la journée en détails, comment il va s'intégrer, s'il va penser a se laver les dents, c'est le début de l'émancipation.

Une liberté toute neuve que Victor savoure déjà.

Comme ça, j'ai plus papa et maman ni mon frère, je suis tranquille.

A 6H, le lendemain matin. Victor et ses compagnons de voyage vont prendre le car, sous l'oeil protecteur de leurs parents.

C'est le grand départ.

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