En direct de Lomener
Ses 1000 oies sont élevées en liberté dans ces champs.
Je leur parle tout le temps pour qu'elles me reconnaissent.
Ici, on ne gave pas les oies de force comme dans les élevages industriels. Sur les 500 hectares de la propriété elles se nourrissent à leur rythme. Naturellement, avant l'hiver et les grandes migrations, elles emmagasinent de la graisse. C'est ce mécanisme qu'exploite Eduardo Sousa.
C'est leur aliment phare, les glands de chêne. C'est très calorique, elles en mangent énormément, ça aide à produire de la graisse. Elles mangent aussi des olives, mais moins.
Avec cette méthode naturelle, il faut un an pour produire ce qu'un élevage classique avec gavage obtiendra en 3 semaines.
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