En direct de Kuala Lumpur
M. Drucker : Pierre Monégier, la zone de recherches se précise.
P. Monégier : Oui, immédiatement après avoir diffusé ces images, la Chine a annoncé avoir envoyé des navires sur place. La zone est grande comme la Bretagne, 26.000 kilomètres où sont déjà à pied d'oeuvre des navires militaires, des navires marchands, des avions. Le problème, c'est que ces photos satellite nous parviennent avec quatre jours de délai, il faut donc essayer de deviner la trajectoire qu'auraient emprunté ces débris potentiels. Un enquêteur me racontait tout à l'heure qu'on connaît très mal les courants dans cette région. Il faudrait savoir s'ils ont dérivé ou s'ils flottent. Il faut également intégrer aux calculs le vent.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.