En direct d'Erbil
J.Bugier: On va découvrir votre reportage. Vous étiez aujourd'hui sur la ligne de front, à une trentaine de kilomètres d'Erbil, là où se trouvaient encore les djihadistes hier. La ville vient d'être reprise.
N.Bertrand: Bonsoir. Il y a eu très peu de réactions pour la simple raison que ce n'est pas encore arrivé jusqu'aux combattants, encore moins à ceux qui se trouvent en première ligne. Les livraisons d'armes se jouent au niveau des états majors et des ministères. Je peux vous dire que ces armes sont espérées. Toute la journée, on nous l'a dit et redit. Certains remercient la France, mais il faut plus que des médicaments. Il leur faut aussi des armes.
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