Retrouvez ici l'intégralité de notre live #PRESIDENTIELLE
23h02 : On ferme ! Non sans avoir jeté un dernier coup d'œil aux principaux titres de l'actualité.
• L'ultimatum de l'armée russe aux derniers soldats ukrainiens pour évacuer Marioupol a expiré. Des bombardements ont eu lieu sur la ville portuaire et sur Kharkhiv. Voici ce qu'il faut retenir des informations de ce 53e jour de guerre.
Marine Le Pen est accusée d'avoir détourné des fonds européens, à hauteur de 137 000 euros, par l'Office européen de lutte antifraude. Ses soutiens dénoncent "une boule puante à quelques jours du second tour".
On a vu un tout petit "classique", ce soir au Parc des Princes. Le PSG s'est imposé 2-1 face l'OM, et n'est plus qu'à une victoire du titre de champion de France.
Le Néerlandais Dylan Van Baarle a remporté Paris-Roubaix en solitaire, devant le grand favori Wout Van Aert. Le premier Français, Adrien Petit, termine sixième. Voici le résumé de la course.
Rendez-vous demain, six heures, pour la suite de ce live.
22h29 : Le débat de l'entre-deux-tours, qui aura lieu mercredi prochain, s'inscrit dans l'histoire de la cinquième République. Retour en images sur des échanges marquants, devenus parfois de véritables points de bascule politiques avec France 2.
(FRANCE 2)
21h07 : Sans déflorer le travail de mes confrères de Libération, je pense qu'il s'agit d'une référence à son soutien au président syrien, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité, dans sa lutte contre l'Etat islamique, au milieu des années 2010. Elle a récemment proposé de rétablir les relations diplomatiques avec le président syrien.
21h05 : Je comprends le lien avec tous les dirigeants sur la une de Libé mais je ne comprends pas le lien avec Bachar El Assad. Pouvez-vous expliquer SVP ?
21h00 : @Kat Bachar Al-Assad, le président syrien, en haut à gauche et Viktor Orban, le premier ministre hongrois, en bas à gauche. Et ce n'est pas Boris Johnson, mais Donald Trump en bas à droite !
20h56 : Je reconnais Vladimir Poutine et Boris Johnson sur la une de Libération de demain, mais les deux autres hommes à gauche, c'est qui ??? Merci

20h04 : 20 heures ! On fait le point sur l'actualité de ce dimanche soir.
L'ultimatum de l'armée russe aux derniers soldats ukrainiens pour évacuer Marioupol a expiré. Des bombardements ont eu lieu sur la ville portuaire et sur Kharkhiv. Suivez les dernières informations dans notre direct.
Marine Le Pen est accusée d'avoir détourné des fonds européens, à hauteur de 137 000 euros, par l'Office européen de lutte antifraude. Ses soutiens dénoncent "une boule puante à quelques jours du second tour".
• Le Néerlandais Dylan Van Baarle a remporté Paris-Roubaix en solitaire, devant le grand favori Wout Van Aert. Le premier Français, Adrien Petit, termine sixième. Voici le résumé de la course.
H-1 avant le clasico PSG-OM entre des Parisiens presque sacrés champions et des Phocéens qui ont besoin de points pour sécuriser leur deuxième place. Le match est à suivre dans ce direct !
19h48 : Du côté des soutiens d'Emmanuel Macron, on cherche à adoucir l'image du président et de sa majorité, en les rendant plus proches des Français lambda : "C’est globalement un problème de la majorité : on manque d’élus qui boivent de la bière et qui mangent des frites avec les doigts. Du coup, la France populaire a le sentiment qu’on ne voit pas comme elle", reconnaît le patron du groupe MoDem à l'Assemblée Patrick Mignola dans Le Parisien.
19h41 : "J'ai acquis de l'expérience, c'est ça ma différence, mais j'ai gardé l'énergie et la liberté que j'avais il y a cinq ans. Ce n'est que ma deuxième campagne présidentielle, si j'ose dire."
Une pierre dans le jardin de Marine Le Pen, dont c'est la troisième.
19h39 : "Il y a des gens qui vous aiment, d'autres qui ne vous aiment pas. C'est normal", se défend Emmanuel Macron, soulignant une hausse de la violence "dans nos sociétés occidentales". "Parfois les gens m'interpellent sur des sujets sur lesquels le président ne peut pas grand chose. C'est comme ça."
19h37 : "Je n'ai pas de regret [dans cette campagne]. J'ai fait campagne autant que j'ai pu, et j'ai présidé autant que j'ai dû. Il y a deux mois, on avait une épidémie de Covid à un niveau très aigu, et il y a six semaines, les bombes commençaient à tomber sur Kiev."
Au tour d'Emmanuel Macron de passer au confessionnal de TF1.
19h35 : Marine Le Pen reconnaît sur TF1 que cette campagne, en cas d'échec, sera "probablement" la dernière, même si elle demeurera présente "pour défendre les Français".
19h30 : "La Marine Le Pen de 2022 est prête. Elle a appris de ses échecs, de ses erreurs. La Marine Le Pen de 2022 a plus travaillé, chaque année qui passe vous donne de l'expérience supplémentaire. J'en suis à ma troisième présidentielle, j'ai appris. Dans ma tête, je suis prête à exercer ce pouvoir."
19h31 : "Je n'ai pas revu le débat [de 2017], non pas en raison de mon traumatisme, mais parce que je ne revois jamais mes émissions, poursuit Marine Le Pen sur TF1. Ma mère a été plus traumatisée que moi, de voir la violence qui a succédé à ce débat. C'est la vie, qui est fait d'épreuve, de choses qu'on réussit, qu'on échoue, et on se relève. C'est aussi une démonstration de votre force de caractère. J'ai échoué, j'ai trébuché. Et je me suis relevée."
19h26 : "Je trouve Emmanuel Macron très brutal à mon égard. Injurieux, agressif. On aurait pu faire un second tour de haut niveau, de bon niveau, face au président sortant."
Marine Le Pen répond aux questions de "Sept à huit", sur TF1.
19h06 : Le Prix Nobel d'économie Jean Tirole tire à boulets rouges sur le programme économique de Marine Le Pen, dans une tribune parue hier dans La Dépêche du Midi : "Le programme de Marine Le Pen est une liste à la Prévert de dépenses supplémentaires, largement sous-estimées à 68 milliards d'euros par an, financées à l'aide de recettes hélas en partie fictives", écrit-il. Pour lui, le programme du RN "appauvrira durablement notre pays".
18h10 : 18 heures ! Faisons le point sur l'actualité de ce dimanche pascal.
• Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a invité Emmanuel Macron à se rendre en Ukraine pour constater qu''il ne s'agit pas d'une guerre, mais d'un génocide". Suivez les dernières informations sur le conflit dans notre direct, alors que l'ultimatum lancé par la Russie aux derniers combattants de Marioupol est arrivé à expiration.
• Marine Le Pen est accusée d'avoir détourné des fonds européens, à hauteur de 137 000 euros, par l'Office européen de lutte antifraude. Ses soutiens dénoncent "une boule puante à quelques jours du second tour".
• Le Néerlandais Dylan Van Baarle a remporté Paris-Roubaix en solitaire, devant le grand favori Wout Van Aert. Le premier Français, Adrien Petit, termine sixième.
17h59 : Relire les Beatitudes ? Juste écouter les messages du Pape ? Un des commandements : aime ton prochain comme toi même.Certains devraient peut-être réviser ?
17h53 : Bonjour. Et oui ont peut être catholique pratiquant et voter pour l’extrême droite Pour nous les valeurs chrétiennes de la France ne sont pas négociables et oui nous ne voulons pas accueillir toute la misère de monde car il faut protéger notre pays et l’immigration massive est loi d’être une réussite. Il faut savoir regarder les choses en face
17h52 : Plutôt que de se contenter de constater que les catholiques ont plus voté pour l'extrême droite, peut-être est-il temps de se demander pourquoi ?
17h52 : Comment un-e catholique peut-il-elle voter pour une politique d’extrême droite ? Quel rapport avec le message d’amour universel de Jésus-Christ, le message d’ouverture et de métissage perpétuels ?
17h52 : Oui je suis catholique. Oui je suis pratiquant. Et profondément attaché à la laïcité. Mais non je ne voterai jamais pour l'extrême droite ! Comment voter pour l'exclusion de l'autre ? L'amour du prochain cela se vit, cela se vote !
17h59 : Pluie de réactions de nos lecteurs catholiques après la non-consigne de vote du président de la conférence des évêques de France et le sondage montrant la surreprésentation du vote d'extrême droite parmi les fidèles.
17h48 : Hubert Védrine, autre ancien locataire du Quai d'Orsay (1997-2002) fait le même choix dans une déclaration à l'AFP : "Il faut voter de façon responsable, c'est-à-dire voter Macron. Il est le mieux à même en tant que président de relever les défis de tous genres qui attendent la France dans les cinq prochaines années."
17h48 : Tribune - Que faire le 24 avril ? (1/3)

17h48 : Dominique de Villepin, ancien Premier ministre, prend position pour Emmanuel Macron, vingt ans après le second tour Chirac-Le Pen. "Il est une réalité qui ne nous permet pas de renvoyer les deux candidats dos-à-dos: avec l'un (Emmanuel Macron), le risque d'effritement et de dévoiement social, diplomatique ou culturel, mais avec l'autre, la certitude de la rupture (...) une pulsion suicidaire, un sabordage", écrit-il dans une longue tribune.
17h40 : @Momo et @Tim L'enquête de l'Ifop (en PDF par ici, c'est page 8) donne des chiffres pour les protestants et les musulmans. Les protestants votent largement pour Emmanuel Macron (à 36%), devant Marine Le Pen (17%) et Jean-Luc Mélenchon (16%). Les musulmans interrogés, quant à eux, s'expriment largement pour Jean-Luc Mélenchon (69%) devant Emmanuel Macron (14%), les autres candidats n'atteignant pas les 10%.
17h38 : Auriez vous la même étude pour les autres religions ?
17h38 : Pour être tout à fait exhaustif il faudrait comparer avec un groupe d'âge et de CSP similaires mais avec une religion différente ou pas de religion comme les athées pour vraiment voir la différence. Car les catholiques font partie de la population générale et font mécaniquement augmenter le score de l'extrême droite. Il est très probable que l'écart soit plus important si on compare athées et catholiques, que catholiques et population générale
17h27 : @Framb Il s'agit d'un sondage Ifop pour La Croix, qui montre que les catholiques ont plus voté pour l'extrême-droite (27% pour Marine Le Pen, 10% pour Éric Zemmour, 3% pour Nicolas Dupont-Aignan).que la population dans son ensemble (autour de 30%) et plus qu'en 2017 (les catholiques n'avaient été que 30% à porter leurs voix sur l'extrême-droite).
17h24 : Ce qui veut dire que 60% des catholiques pratiquants n'ont pas voté pour un candidat d'extrême droite40% est ce plus que la moyenne nationale? Enquête nationale ? Ce raccourci m'agace
17h24 : 40% !!! Mais c'est énorme... Comment explique-t-on un tel résultat chez des chrétiens ? C'est pas juste une question de personnalité manquante, y'a des valeurs normalement intouchables non ? La réponse des responsables catholiques n'est pas à la hauteur de l'enjeu, je trouve ça vraiment grave.
17h12 : Au premier tour de la présidentielle, 40% des catholiques pratiquants ont voté pour un candidat d'extrême droite. Interviewé dans Le Parisien, l'archevêque de Reims, Eric de Moulins-Beaufort, ne donne pas de consigne de vote, mais appelle chacun à mesurer les conséquences de son vote : "Les catholiques participent à une sorte de trouble général qui touche toute la société française. Il manque aux catholiques une personnalité dans laquelle ils veulent s’identifier."
16h27 : Et pendant ce temps, à Toulouse, 1 000 personnes ont défilé contre le Rassemblement national cet après-midi, une semaine après le premier tour de la présidentielle, signale France 3 Occitanie. L'histoire ne dit pas si on doit les rajouter au total des manifestants qui ont défilé hier, jour de mobilisation nationale.
16h08 : Voici qu'il faut retenir de l'actualité :
Une série de frappes sur Kharkiv a fait au moins cinq morts et 13 blessés, selon les services de secours, cités par l'AFP. Moscou a également intensifiéses attaques contre la capitale ukrainienne, détruisant cette nuit "une usine de munitions près de Brovary". Suivez la situation en direct.
Les deux tiers des soutiens à Jean-Luc Mélenchon interrogés par La France insoumise choisissent de ne pas voter pour Emmanuel Macron. Le vote blanc ou nul est arrivé en tête de la consultation menée par le parti après de ses soutiens, avec 37,65% des 215 292 voix exprimées. Suivez notre direct.
La saison des pavés s’achève à l’occasion de la 119e édition de Paris-Roubaix. Cette reine des Classiques est cette année marquée par des abandons, des chutes, des galères et des rebondissements Suivez notre direct.
Marine Le Pen se retrouve à nouveau accusée de détournement de fonds publics européens. Après sa mise en examen en 2018 pour les mêmes faits dans le dossier de ses assistants parlementaires européens, elle est aujourd'hui visée par un deuxième rapport de l'Office de lutte antifraude (Olaf) de l'Union européenne. Franceinfo répond à cinq questions pour comprendre les accusations qui pèsent sur la candidate du Rassemblement national.
16h15 : Nous en parlions ce matin, le secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts, Julien Bayou, était l'invité de franceinfo. Il est revenu sur le résultat "décevant" du candidat écologiste, Yannick Jadot (4,7%) au premier tour de la présidentielle. Sa campagne présidentielle "n'a pas fonctionné", a assumé Julien Bayou, appelant son parti à "se poser des questions et tirer les leçons" de cet échec à l'occasion d'un "conseil fédéral" organisé samedi. Retrouvez son interview ici.
15h40 : Ils sont prévenus. La Commission nationale de contrôle de la campagne électorale (CNCCEP) a mis en garde Emmanuel Macron et Marine Le Pen sur l’utilisation des données personnelles. Les deux candidats sont notamment invités à "ne pas utiliser un fichier à des fins incompatibles avec celles en vue desquelles il a été constitué". On vous en dit plus dans notre article.
15h11 : Alerte au mauvais copier-coller. Evidemment, il fallait lire "Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement", et non pas "Jordan Bardella". Tous les deux étaient invités de franceinfo ce midi. 
15h04 : "Est-ce que les Français préfèrent le candidat qui veut lutter contre le grand réchauffement ou la candidate qui a théorisé le grand remplacement ?"
Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, était l'invité ce midi de l'émission "Questions Politiques" sur franceinfo et France Inter, face à Jordan Bardella, président du Rassemblement National. Retrouvez ici ses déclarations.
13h50 : La table ronde avec @FOuassak & @Lindgaard va se terminer, mais elle est à retrouver sur notre live 🔴Facebook : https://t.co/RE8PraJnTzLe mieux étant de nous rejoindre sur place à la #PorteSaintDenis 😉#InevitableRebellion https://t.co/Qd7WibOWIL

13h48 : L'action des militants d'Extinction rebellion, débutée hier dans le centre de Paris, se poursuit aujourd'hui. Le collectif, qui prône la désobéissance civile non-violente, entend notamment mettre le climat au menu de l'entre-deux-tours.
13h25 : "Ce que nous avons fait, nous avons conscience que ce n'est pas assez mais c'est déjà une base."
Pour le député LREM Sacha Houlié, la planification écologique est l'un des points forts du programme du président-candidat, Emmanuel Macron, lequel a envoyé hier des signaux à sa gauche en parlant de l'environnement comme du "combat du siècle". Sacha Houlié était l'invité de franceinfo.
13h14 : "La planète, c'est bien la seule à qui on ne fait pas de cadeau dans votre programme", a lancé Gabriel Attal à Jordan Bardella. Le porte-parole du gouvernement a assuré que le programme de Marine Le Pen promettait à l'inverse "des reculs" sur l'environnement. "Le vote pour le climat, c'est le vote Marine Le Pen," a répondu le député européen du Rassemblement national, rappelant que le gouvernement a été condamné pour inaction climatique.
12h53 : En cette période d'entre-deux-tours, tous les regards se tournent vers Jean-Luc Mélenchon, troisième homme du premier tour, arrivé juste derrière Marine Le Pen. Sur Twitter, la chaîne BFMTV annonce qu'elle recevra le chef de la France insoumise mardi à 18h50, pour sa première intervention télévisée depuis dimanche.
12h45 : Jordan Bardella et Gabriel Attal sont les invités de l'émission "Questions politiques" sur franceinfo. Pour la suivre, rendez-vous dans notre direct.
12h55 : "Je suis victime d'anathème, alors que j'aimerais que cette campagne se déroule arguments contre arguments, projets contre projets."
La candidate du Rassemblement national est invitée de France 3 ce midi. Elle revient notamment sur ce qu'a déclaré Emmanuel Macon hier lors de son meeting à Marseille : son rival a déclaré que Marine Le Pen était "climatosceptique", ce que la candidate réfute.
12h56 : Voici qu'il faut retenir de l'actualité de ce matin :
Moscou intensifie ses attaques contre la capitale ukrainienne. "Durant la nuit, des missiles de haute précision lancés par des avions ont détruit une usine de munitions près de Brovary dans la région de Kiev", a annoncé le ministère russe de la Défense, dans un communiqué sur sa chaîne Telegram. Suivez la situation en direct.
Les deux tiers des soutiens à Jean-Luc Mélenchon interrogés par La France insoumise choisissent de ne pas voter pour Emmanuel Macron. Le vote blanc ou nul est arrivé en tête de la consultation menée par le parti après de ses soutiens, avec 37,65% des 215 292 voix exprimées. Suivez notre direct.
La saison des pavés s’achève à l’occasion de la 119e édition de Paris-Roubaix. Dans cette reine des Classiques, on pourrait assister à un duel entre Mathieu van der Poel et Wout Van Aert. Suivez notre direct.
12h57 : "Vous ne gagnez pas tellement de voix parce qu'en général vous vous adressez aux plus convaincus, c'est-à-dire ceux du camp adverse qui ne voteront pas pour vous et ceux de votre camp qui sont assurés de voter pour vous. La marge pour faire déplacer le nombre de voix est donc assez faible. Mais cette fois, il y a un élément supplémentaire : l'abstention étant tellement forte, le seul rendez-vous pour réfléchir à l'élection présidentielle, c'est ce débat, donc peut-être que là vous pouvez déplacer quelques voix."
Grosse pression sur les deux candidats à l'approche du débat d'entre-deux-tours. Et pour cause, "la moindre faute peut vous faire perdre le débat", prévient l'ancien conseiller en communication de Nicolas Sarkozy, Franck Louvrier, interrogé par franceinfo.
12h14 : A une semaine du second tour, Marine Le Pen et le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie sont invités de l'émission "Dimanche en politique" sur France 3. Vous pouvez la suivre dans notre direct.
12h04 : Lors de la consultation qu'a réalisée Jean-Luc Mélenchon auprès de ses soutiens à l'approche du second tour, le vote blanc ou nul est arrivé en tête, avec 37,65% des 215 292 voix exprimées. Retrouvez notre article ici.