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Vidéo Quand François Mitterrand obtenait une majorité relative en 1988

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Alors que le second tour des élections législatives s’est déroulé le dimanche 19 juin, la coalition d’Emmanuel Macron “Ensemble !” n’a pas réussi à réunir la majorité absolue. Et la dernière fois que cela s’est produit, c’était en 1988 sous François Mitterrand.
VIDEO. Quand François Mitterrand obtenait une majorité relative en 1988 Alors que le second tour des élections législatives s’est déroulé le dimanche 19 juin, la coalition d’Emmanuel Macron “Ensemble !” n’a pas réussi à réunir la majorité absolue. Et la dernière fois que cela s’est produit, c’était en 1988 sous François Mitterrand.
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Alors que le second tour des élections législatives s’est déroulé le dimanche 19 juin, la coalition d’Emmanuel Macron “Ensemble !” n’a pas réussi à réunir la majorité absolue. La dernière fois que cela s’est produit, c’était en 1988 sous François Mitterrand.

A l’occasion des élections législatives ce 19 juin, la coalition du président Emmanuel Macron, qui avait reçu la majorité absolue lors des précédentes élections, devra se contenter d’une majorité relative pour les cinq futures années.

La situation parlementaire chez nous est comparable à celle de la plupart des démocraties européennes

Ce scénario s’est déjà produit lors des élections législatives de 1988 sous François Mitterrand. En effet, le parti socialiste du Président n’avait obtenu qu’une majorité relative à l’Assemblée nationale. 

“Certes, il eût été préférable d'atteindre la majorité absolue des députés. Il s'en est fallu de 13 sièges sur 575 à l'heure où je m'exprime. Mais, même relative, la majorité parlementaire existe”, déclarait François Mitterrand quelques jours après les résultats. 

“Bien entendu, je me réjouirai de voir progressivement se rassembler autour des choix que je vous ai soumis un nombre croissant de Français et de représentants du peuple. Ces choix constituent la charte de la majorité présidentielle et cette majorité-là, c'est la vôtre.”

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