: Vidéo "On a voulu casser les codes" : un barbershop parisien nous a ouvert ses portes
On ne les appelle ni des coiffeurs ni des barbiers, mais des barbers. Et chez eux, tous les types de cheveux sont représentés. Brut a visité le barbershop de Diablo et Vito à Paris.
Brut s'est rendu au barbershop de Diablo et Vito, à Paris. Ici, ce ne sont ni des coiffeurs ni des barbiers mais des "barbers" qui s'affairent toute la journée pour proposer des coupes particulièrement originales. Ce qui les distingue des coiffeurs classiques, c'est notamment leur amour des finitions : contours, des parties rasées à blanc... Le terme barber provient tout droit des États-Unis et si le mot peut porter à confusion, le barber fait en réalité une multitude de choses : des couleurs, des designs, des lissages... Et dans leur travail, les barbers ont à cœur de mettre en avant la diversité et veillent à "réunir toutes les origines ethniques pour avoir une clientèle la plus large possible."
Aujourd'hui, ce métier commence à avoir le vent en poupe : beaucoup de jeunes commencent à s'y diriger. Mais selon Diablo et Vito, il n'est pas encore assez développé. "Quand on fait un diplôme type CAP ou brevet professionnel, à aucun moment on nous apprend à couper des cheveux afros, asiatiques, à faire tout ce qui est tresses, toutes les coupes actuelles et modernes", conclut Diablo.
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