La FIAC ouvre ses portes
lieux prestigieux de la capitale vont devenir de lieux d'exposition d'oeuvres en tous genres. La FIAC est aussi un baromètre important pour les artistes, qui peuvent y prendre leur envol.
À 39 ans, Joseph Kouli est l'un des plus jeunes collectionneurs de la FIAC. Photos, vidéos, installations, ce jeune patron d'agence de pub achète dès que ses finances le permettent et il possède déjà plus d'une centaine d'œuvres d'art, comme un marteau "qui ne paie pas de mine, mais qui est en faïence". Il a commencé sa collection en 2006 "un peu par hasard". Ce mercredi 19 octobre, pas question pour lui de rater les tout premiers moments de l'ouverture aux professionnels de la FIAC à Paris.
"10 000 euros" maxi pour une oeuvre
Au Grand Palais, Joseph Kouli et un peu comme chez lui. S'il ne sait pas encore ce qu'il va acheter, il sait déjà que son budget de collectionneur est limité à "10 000 euros pour une œuvre et 20 000 euros par an". À la FIAC, même si parfois les prix s'envolent, la plupart des œuvres qui partent sont vendues à moins de 5 000 euros. Et dans ce milieu très particulier, tout fonctionne sur la confiance.
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