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Vidéo Une journée avec Mylie, vendangeuse

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C’est la fin de l’été, et l’heure des vendanges a sonné. Pendant plusieurs semaines, les vendangeurs vont dans les vignes couper les grappes de raisin. Brut a suivi Mylie, à Vacqueyras, dans le Vaucluse.
Une journée avec Mylie, vendangeuse C’est la fin de l’été, et l’heure des vendanges a sonné. Pendant plusieurs semaines, les vendangeurs vont dans les vignes couper les grappes de raisin. Brut a suivi Mylie, à Vacqueyras, dans le Vaucluse. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

C’est la fin de l’été, et l’heure des vendanges a sonné. Pendant plusieurs semaines, les vendangeurs vont dans les vignes couper les grappes de raisin. Brut a suivi Mylie, à Vacqueyras, dans le Vaucluse. 

C’est le moment où on vient récolter le fruit du travail d’une année.” La période des vendanges a commencé un peu partout en France. L’occasion pour des centaines de saisonniers de se rendre dans les vignes et de ramasser le raisin. C’est le cas de Mylie, 25 ans. Ancienne assistante d’éducation, elle est vendangeuse cette année pour la première fois. “Je pensais vraiment que j’allais avoir mal partout, et finalement pas tant que ça”, explique Mylie.

“Ça fait vraiment ambiance colonie de vacances”

Au sein du groupe de vendangeurs, la bonne humeur prime. “Tu as une équipe qui s’entend bien, assez rigolo”, décrit Olivier Brès, vigneron à Vacqueyras. “J’aime bien que les gens soient rigolos, mais quand même qui travaillent et que la récolte est au rendez-vous et de qualité.

Un sentiment que partage Mylie. “Il n’y a pas que le boulot en soit … Il y a vraiment cet aspect relationnel qui est ultra enrichissant.” Les saisonniers vivent ensemble près du site, dans un campement, pendant les trois semaines de vendanges. “Ça fait vraiment ambiance colonie de vacances, parce que ça reste un groupe et on apprend à se connaître, il y a des liens qui se créent. Il y a une mentalité comme ça de partage, de vivre-ensemble, d’intelligence collective. Et c’est vraiment ça aussi qui m’a fait venir ici quand on m’en a parlé”, confie-t-elle.

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