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Vidéo Réforme des retraites : "Nous devons travailler plus", affirme Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein Emploi et de l'Insertion

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Réforme des retraites : "Nous devons travailler plus", affirme Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein Emploi et de l'Insertion
Réforme des retraites : "Nous devons travailler plus", affirme Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein Emploi et de l'Insertion Réforme des retraites : "Nous devons travailler plus", affirme Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein Emploi et de l'Insertion (FRANCE 3)
Article rédigé par France 3 - Francis Letellier
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Olivier Dussopt est l’invité de "Dimanche en politique", dimanche 18 septembre. Le ministre du Travail, du Plein Emploi et de l'Insertion est revenu sur la réforme des retraites qu’il mène, sous l’autorité du président de la République et de la Première ministre.

C’est une réforme délicate qu’Olivier Dussopt a été chargé de mener, celle des retraites. Depuis plusieurs jours, les partenaires sociaux se succèdent au ministère. Ils seront tous réunis autour du ministre, lundi 19 septembre. "Nous allons avoir un échange autour du rapport qui a été remis en fin de semaine dernière du Conseil d’orientation des retraites sur l’état financier du système des retraites", souligne Olivier Dussopt, qui ajoute que ce rapport explique que le système est légèrement à l’équilibre cette année, mais que les déficits se creuseront durant les prochains exercices.

L’âge de départ à la retraite repoussé à 65 ans ?

Sur le contenu de la réforme comme sur le calendrier, le ministre a botté en touche. "Ça peut être en octobre, comme ça peut être au printemps", affirme Olivier Dussopt. Mais le sens de la réforme est clair. "Nous devons travailler plus. Cela veut dire être plus nombreux à travailler, l’objectif du plein emploi a aussi vocation à dégager des recettes pour le système social. C’est aussi travailler plus à l’échelle de nos vies, mais de manière adaptée en tenant compte de la pénibilité", avance le ministre. La question de l’âge du départ à la retraite et la promesse de campagne d’Emmanuel Macron d’un cap à 65 ans va donc revenir sur la table avec insistance, alors que la plupart des syndicats s'y disent opposés.

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