Pimkie ne sera pas la première entreprise française à inaugurer la procédure de rupture conventionnelle collective. Lors de la réunion entre la direction et les syndicats au siège de l'enseigne à Villeneuve-d'Ascq (Nord) ce mardi 9 janvier, les délégués syndicaux ont refusé de signer. Aucun accord n'a donc été possible. La direction du groupe avait préalablement annoncé la fermeture de 37 magasins en France, ainsi que 208 suppressions de postes, dans le cadre de la nouvelle disposition de la loi Travail des ordonnances Macron. Sans signature, aucun accord n'est possible, c'est la loi. L'abandon de la rupture conventionnelle collective a ainsi été acté ce mardi après-midi.Négociations toujours en coursUn plan de départs volontaires reste pourtant à négocier. La direction ne fera aucun commentaire avant la fin des négociations, toujours en cours ce mardi soir.