: Vidéo Fleur Pellerin : "nous proposons un accès privilégié au marché sud-est asiatique"

"On veut développer les champions français à l’international" affirme Antoine Dresch, associé de Fleur Pellerin dans l’aventure franco-coréenne Korelya Capital, jeudi 20 avril sur le canapé gris de ":L’éco".

Fleur Pellerin poursuit : "tout cela est parti d’une entente intellectuelle et quasiment philosophique sur la signification de la transition numérique. Et c’est probablement lié à ce que j’ai fait comme membre du gouvernement en France mais aussi au fait que j’ai des racines coréennes."

"Transparence"

Comment passer de la politique à la finance ? En réponse à la Question qui fâche, Fleur Pellerin riposte : "j’ai rendu publique la lettre par laquelle j’ai démissionné de la fonction publique, j’aurais pu rester au chaud avec mon statut de fonctionnaire à la cour des comptes tout en montant mon entreprise. Moi j’ai créé pratiquement une dizaine d’emplois sur six mois, je vais investir 100 millions d’euros en France et en Europe des sommes qui auraient été investis ailleurs."

De la cour des comptes au ministère de la culture, des télécommunications au conseil, les deux associés ont multiplié les vies professionnelles. C’est l’objet de la Question perso : "on peut avoir plusieurs vies, on a une évolution du secteur digital qui permet à des gens de se réinventer. Et nous avec Fleur, nous sommes des exemples de personnes qui ont su utiliser une partie de leur vie et la retransformer dans un secteur en croissance" explique Antoine Dresch.

Comme à son habitude, Jean-Paul Chapel termine l’interview par la chanson préférée de l’invité. Fleur Pellerin et Antoine Dresch ont choisi No limit de 2 Unlimited : "une chanson que l'on écoutait ensemble en classe préparatoire, certes pas très raffinée mais sans limites. On ne se fixe pas de limite à notre ambition."

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