Les plans sociaux - actés ou redoutés - se multiplient depuis deux mois, jusqu'au point culminant des 8 000 suppressions de postes annoncées, jeudi 12 juillet, par PSA Peugeot Citroën, le gouvernement accusant l'ex-majorité de les avoir masqués pendant la période électorale.Le gouvernement est confronté aujourd'hui à de nombreuses menaces sur l'emploi dans tous les secteurs : le numéro un européen de la volaille, Doux (3 400 salariés), Bouygues Télécom (556 salariés) ou encore ArcelorMittal (200 à 300 emplois), Neo Security (5 000), Petroplus, Florange, Carrefour, ou encore le BTP (6 000 emplois menacés).