Conseil des ministres : réactions après l'exécution de l'otage français
Avec l'assassinat hier d'Hervé Gourdel, ils ont montré leur détermination.
Face à l'effroi provoqué par la mort d'Hervé Gourdel, la classe politique dans son ensemble affiche pour le moment son unité. Pas question de remettre en cause l'intervention française en Irak. Le chef de l'Etat et le Premier ministre appellent au rassemblement et manifestement, ils sont entendus.
La tristesse dans tous les esprits, mais p as question de faiblir. Dès ce matin Mannuel Valls a délivré un message ferme.
La France ne cedera pas, elle ne se laisse pas intimider. Nous devons cela au compatriote Pas un mot de plus. Les visages sont grave à la sortie du Conseil des ministres. Le silence est de rigueur. Seul le porte-parole appelle à l'unité.
Il faut avoir cette idée simple d'une cohésion nationale, on ne stigmatise pas les Français.
Aucune voix dissonante.
C'est un moment de recueillement et de cohésion. Il faut trouver els mots et nous sommes rassemblés pour montrer notre détermination.
Nous soutenons les autorités françaises dans leur fermeté.
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