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Vidéo Les ingrédients du "bayhem" : la recette des films de Michael Bay

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L’art et la manière de Michael Bay
L’art et la manière de Michael Bay L’art et la manière de Michael Bay
Article rédigé par franceinfo - Benoît Jourdain
France Télévisions

Michael Bay, plus de vingt ans de carrière, une dizaine de films et toujours les mêmes ingrédients : des explosions, des ralentis et des vêtements très courts (surtout quand on est une fille).

En un peu plus de vingt ans, Michael Bay est devenu le roi de la destruction à Hollywood. De son premier film Bad Boys avec Will Smith (1995), à Transformers : the last knight, dernier épisode de la saga Transformers, qui sort mercredi 28 juin en France, le réalisateur américain a développé un art. Son art. Celui, pour ses fans, du grand spectacle, des blockbusters bourrés d'effets spéciaux. Chacun de ses films est une promesse d'action. Un style bourrin, écervelé et misogyne pour ses détracteurs.

Un style : le chaos

Définir le style de Michael Bay, c’est décrire les conséquences de la présence d’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Ça explose, ça casse et ça fait du bruit. Beaucoup de bruit. Que ce soit à Miami (Bad Boys I et II, No pain no gain), à New York et dans l'espace (Armaggedon), près des pyramides de Gizeh (Transformers 2 - La Revanche), rien ne résiste à Michael Bay, son style et ses effets de caméra. Le réalisateur aime les ralentis, les couchers de soleil, les explosions et les courses-poursuites. Et s’il y a des femmes, jolies, et peu vêtues, c’est mieux. Hollywood a même un inventé un nom pour définir le style Bay : le "bayhem", contraction de son patronyme et de "mayhem" ("chaos" en VF).

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