Sarkozy assure le "service après-vente"
Nicolas Sarkozy a refusé ''une politique de facilité qui sacrifierait l'avenir au présent, qui conduirait à la banqueroute'' . ''Nous sortirons de la crise en modernisant la France'', pas ''en embauchant davantage de fonctionnaires ou en rétablissant l'autorisation administrative de licenciement'', ni en ''augmentant massivement le SMIC''. Selon le chef de l’Etat la France dispose des atouts qui lui permettraient de sortir "vite de la crise, à condition de ne pas refaire les erreurs du passé".
50 milliards de dividendes pour les entreprises du CAC 40
Nicolas Sarkozy a reconnu que "quand les entreprises du CAC 40 prévoient de distribuer près de 50 milliards d'euros de dividendes en 2008, il est normal, et c'est mon rôle de chef de l'Etat de le dire, qu'une part en revienne aux salariés".
Enfin, le président à consacré ses derniers mots à la situation aux Antilles. "Aujourd'hui, c'était ma réponse aux conséquences sociales de la crise. Dès demain, je recevrai les élus d'Outre-mer pour répondre à l'angoisse, à l'inquiétude et à une certaine forme de désespérance de nos compatriotes des territoires d'Outre-Mer", a déclaré le chef de l'Etat.
Caroline Caldier avec agences
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