Frigide Barjot expulsée de son logement
Le tribunal d'instance du 15e arrondissement de Paris a
rendu sa décision. Frigide Barjot et son mari Basile
de Koch sont expulsés de leur logement social, un duplex de 173m² situé à deux
pas de la Tour Eiffel et loué 2.850 euros/mois.
Mais ce n'est pas directement sur la question du loyer, bien que très inférieur au prix du marché, que les époux Tellenne, de leur vrai nom, avaient été assignés par la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP).
Le bailleur social avait en effet justifié sa demande de résiliation des baux de ce "logement intermédiaire à loyer libre" (qui n'est pas un HLM à proprement parler) au
motif que les lieux avaient été utilisés à usage commercial par la société
Jalons, propriété de Basile de Koch, et sous-loués à cette même société.
Les amis de Frigide Barjot dénoncent une décision politique
En prononçant "la résiliation judiciaire des baux ", la justice a donc donné raison à la RIVP. Elle "autorise " cependant le couple à quitter les lieux "dans un délai de quatre mois à compter du présent jugement ", indiqe le jugement.
"Cette décision politique est insupportable car elle fait payer à une famille entière le prix du courage ", ont immédiatement réagi les amis de Frigide Barjot sur Twitter. Son mari, Bruno Tellenne, alias Basile de Koch, dénonce sur France info un "déni de justice ", et n'a "pas l'intention" d'en rester là, assure-t-il. Le couple fait donc appel.
Exclue la semaine dernière du Conseil d'administration de La Manif pour tous , mouvement dont elle a pourtant été l'égérie, Virginie Tellenne, alias Frigide Barjot, s'est dite "anéantie " par ce nouveau revers, rapporte Le Figaro.fr
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