Il s'appelle William Arthur Philip Louis Wales et est le fils aîné du prince Charles et de feu la princesse Diana
Bientôt trentenaire - il est né le 21 juin 1982 -, William a su conquérir le coeur de ses compatriotes qui le verraient bien monter sur le trône directement après , coupant l'herbe sous le pied de son père.
Agé de 15 ans quands'est tuée sous le pont de l'Alma à Paris, il a fait de la discrétion sa devise.
Contrairement à son plus jeune frère Harry, dont les débordements ont défrayé la chronique, William a su éviter jusqu'ici les faux pas avec une grande aisance. De son entrée dans l'armée à ses engagements caritatifs, il a fait un parcours impeccable.
Après des études secondaires au très chic et très bristish collège d'Eton, il a passé une année sabbatique pendant laquelle il a voyagé notamment en Amérique du Sud et en Afrique avant d'intégrer la prestigieuse université de Saint Andrews, en Ecosse, où il a décroché une maîtrise de géographie en juin 2005.
Mais derrière l'image d'un garçon réservé, aux yeux bleus et aux cheveux blonds hérités de sa mère, se cache une passion - héritée de son père, le prince Charles - pour les sports de plein air ou la chasse.
Physique et engagé
Le N°2 dans l'ordre de succession au trône britannique possède, il est vrai, un physique d'athlète: avec son mètre quatre vingt-dix, il passe son temps libre dans la nature. Ce qui, naturellement, l'a amené à embrasser une carrière militaire après ses études. Il a achevé en 2009 une formation accélérée de pilote d'hélicoptère au sein de la Royal Air Force, et exerce depuis dans une unité militaire de sauvetage, dans l'île d'Anglesey, au nord du pays de Galles, où il a effectué pas moins de 12 missions depuis son intégration en septembre dernier.
Mais de sa mère, , le prince William a hérité d'une grande volonté à s'engager pour des causes humanitaires et en faveur de nombreuses associations caritatives. Alors, comment ne pas aimer ce gaillard dont le prochain mariage avec la douce Kate l'empêche de dormir ? Un tendre, on vous dit, qui en a eu "les genoux qui s'entrechoquaient" lors d'une répétition de la cérémonie. Et qui envisageait l'événement, le 1er avril, comme "une perspective intimidante et très enthousiasmante".
Mais s'il est charmant, il n'en reste pas moins homme: William a cependant enterré sa vie de garçon le dernier week-end de mars dans le plus grand secret, là encore, au grand dam des médias, semés consciencieusement par l'intéressé - qui avoue s'être bien amusé -et son cadet Harry. "C'était une opération quasi militaire, et mon frère et moi sommes très fiers de la façon dont cela s'est passé", a-t-il indiqué avec un humour... très anglais, évidemment.
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