Cet article date de plus de six ans.

Vidéo À 4 ans, Haroua souffre d'une rare maladie de peau qui couvre une partie de son corps de poils

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Les autres enfants du village refusent de jouer avec elle. À 4 ans, Haroua souffre d'une rare maladie de peau qui couvre une partie de son corps de poils. Voici son histoire.
VIDEO. À 4 ans, Haroua souffre d'une rare maladie de peau qui couvre une partie de son corps de poils Les autres enfants du village refusent de jouer avec elle. À 4 ans, Haroua souffre d'une rare maladie de peau qui couvre une partie de son corps de poils. Voici son histoire. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Les autres enfants du village refusent de jouer avec elle. À 4 ans, Haroua souffre d'une rare maladie de peau qui couvre une partie de son corps de poils. Voici son histoire. 

Haoura souffre d’une maladie rare de peau. L’imposant grain de beauté avec lequel elle est née n’a cessé de grossir. Aujourd’hui âgée de 4 ans, elle se retrouve recouverte d’une tache noire parsemée de poils sur une grande partie de son corps. Marginalisée par les autres enfants, la jeune fille ne sort quasiment jamais de son village irakien. "C’est une enfant normale, elle est comme tout le monde. Elle sort dehors et joue normalement avec ses frères mais quand elle quitte la maison, nos voisins se moquent d’elle", regrette le grand frère d'Haoura.

Elle veut faire beaucoup de choses, elle veut aller à l’école et elle veut jouer dehors.

Mère d'Haoura

La "tache" qui recouvre le corps d'Haoura pourrait se transformer en mélanome, c'est-à-dire en cancer de la peau. Une greffe de peau ainsi qu’une intervention au laser sont nécessaires à sa guérison. Mais la soigner en Irak est impossible pour ses parents. Les soins y sont, en effet, particulièrement chers. "Ça la gratte. Nous voulons demander à un dermatologue un traitement de base contre les démangeaisons... Mais nous ne pouvons pas nous le permettre", explique la mère d’Haoura.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.