Cet article date de plus de cinq ans.

Vidéo Pour limiter la pollution liée à Internet, des alternatives existent

Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min - vidéo : 5min
Internet, ça pollue. Pourtant, il existe des alternatives et astuces simples pour l’utiliser de manière éco-responsable. Julien Vidal de Ca Commence Par Moi livre ses conseils. Rencontre.
VIDEO. Pour limiter la pollution liée à Internet, des alternatives existent Internet, ça pollue. Pourtant, il existe des alternatives et astuces simples pour l’utiliser de manière éco-responsable. Julien Vidal de Ca Commence Par Moi livre ses conseils. Rencontre. (BRUT)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions

Internet, ça pollue. Pourtant, il existe des alternatives et astuces simples pour l’utiliser de manière éco-responsable. Julien Vidal de Ca Commence Par Moi livre ses conseils. Rencontre.

Si Internet était un pays, il serait le sixième consommateur d'électricité au monde. C'est le constat de Julien Vidal. L'auteur du livre Ça commence par moi a testé et adopté une action écocitoyenne chaque jour pendant un an. Parmi les 365 défis figure celui d'utiliser Internet de façon éco-coresponsable. Et cela n'est pas impossible.

Trier vos e-mails

Gérer ses e-mails est une première étape et Julien Vidal n'oublie pas de rappeler : "Chaque jour, on reçoit des dizaines d'e-mails. Dans le monde, il y a 12 milliards d'e-mails qui sont envoyés chaque heure. Et ça, ça a un impact environnemental colossal."

Ainsi, si faire le tri dans sa boîte mail et se désabonner des newsletters inutiles semblent être des gestes anodins, c'est pourtant des kilos de CO2 en moins. Par exemple, se désabonner de 124 newsletters correspond "à 90 kilos de CO2 par an, qui représentent au total près de 600 km en voiture."

Bien choisir son moteur de recherche

Le moteur de recherche utilisé a aussi des répercussions sur l'environnement. Julien Vidal préconise d'utiliser le moteur de recherche Ecosia. Ce dernier utilise l'argent gagné pour planter des arbres. "Toutes les 45 recherches en moyenne, un arbre", explique Ferdinand Richter, responsable d'Ecosia France. "Aujourd'hui, on gagne environ 1 million d'euros par mois et 500 000 euros en moyenne partent dans les arbres', poursuit-il.

Résultat : Ferdinand Richter et son équipe ont fait un calcul assez édifiant : "Si 1 personne sur 5 utilisait Ecosia et non pas Google, on pourrait planter assez d'arbres pour séquestrer toutes les émissions carbones du monde d'une année."

Consultez lamétéo
avec
voir les prévisions

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.