"Pour les villes, certainement que la traction électrique doit son avantage à sa propreté, à son côté pratique, puisque tous les instruments ménagers sont aujourd'hui électriques", expliquait Paul Arzens. Pourtant, elle n'a pas eu le succès attendu face à la voiture classique : "Une voiture, c'était viril, c'était pour se déplacer, c'était pour plaire (…) une voiture électrique, c'était silencieux, c'était tranquille."Finalement, après la guerre, la traction électrique est abandonnée sauf en Grande-Bretagne, où, en 1968, roulaient près de 55 000 de ces véhicules.