Dry January : un "challenge pour bien commencer l’année" pour Constance Jablonski, top-modèle et cofondatrice d’un vin sans alcool

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Constance Jablonski, ancienne top-modèle, est l’invitée culture du 12/13 info, lundi 15 janvier. Elle revient sur son parcours de mannequin, mais aussi la création de son vin effervescent sans alcool.
Dry January : janvier sans alcool, un "challenge pour bien commencer l’année et se montrer qu’on est capable" pour Constance Jablonski, top-modèle et cofondatrice d’un vin sans alcool Constance Jablonski, ancienne top-modèle, est l’invitée culture du 12/13 info, lundi 15 janvier. Elle revient sur son parcours de mannequin, mais aussi la création de son vin effervescent sans alcool. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - E.Tran Nguyen
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Constance Jablonski, ancienne top-modèle, est l’invitée culture du 12/13 info, lundi 15 janvier. Elle revient sur son parcours de mannequin, mais aussi la création de son vin effervescent sans alcool.

Comme chaque année, la top Constance Jablonski se plie au défi du "dry january", le mois de janvier sans alcool. "J’ai habité les US pendant très longtemps, comme c’est une trend qui est anglo-saxonne, je fais ça depuis très longtemps", introduit-elle, avant d’ajouter : "En plus c’est gratifiant quand on y arrive, ce sont des petits challenges pour bien commencer l’année, et se montrer qu’on est capable." 

Meilleur vin effervescent au monde

Constance Jablonski, 32 ans, et mannequin depuis 2008, est la co-fondatrice d’un vin effervescent sans alcool, French Bloom, élu deux années de suite meilleur vin effervescent au monde. "Depuis le début de ma carrière de mannequin, je me suis souvent sentie exclue en soirée, aux événements. Parce que je trouvais ça très paradoxal que mon métier me demande d’être fraîche en studio tous les jours à 6 heures du matin, et en même temps le cœur de mon métier, c’est (…) d’aller à tous les évènements de fashion week. Les deux, pour moi, n’étaient pas compatibles", raconte-t-elle. 

"Quand on demande autre chose [que de l’alcool], on est un peu mal regardé, et on nous offre de l’eau ou un jus de fruit, presque en s’excusant. (…) Ce n’est pas normal. Aujourd’hui, on devrait pouvoir proposer une option qui est au même niveau qu’un grand vin ou qu’un grand champagne, pour que même ceux qui ne boivent pas se sentent bien autour de la table", ajoute Constance Jablonski. 

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