En direct sur le plateau du 20H de France 2, le papa du jeune Noé, Frédéric Lemos, témoigne de son combat. "J’ai décidé de poursuivre le combat pour les autres, pour la mémoire de Noé, on lui doit bien ça. Et parce que j’ai été confronté au double constat. Ces cancers des enfants, et notamment les plus mauvais, ceux du cerveau… leur sort est scellé. On a été totalement insupporté par le fait qu’on nous a dit que notre fils allait vivre de 3 à 9 mois maximum. C’est la même chose depuis 35 ans", regrette-t-il. Les laboratoires demandent un environnement sécuriséEt Frédéric Lemos d’ajouter : "je ne pense pas que l’on puisse jeter la pierre aux laboratoires. Faire un essai sur un enfant, il faut qu’il y ait trois entités consentantes : la famille, le personnel médical et le laboratoire qui donne la molécule. Les laboratoires demandent d’avoir un environnement sécurisé pour pas qu’un essai qui se passerait mal emporte tout développement de leur médicament." Pour aider à guérir le cancer de l’enfant, il est possible d’effectuer un don par sms au 92 250, "enfant", ou en ligne sur le site www.gustaveroussy.fr.