Vous en parlerez aujourd'hui. Politique, musique : il va falloir s'habituer aux hologrammes

Les hologrammes de plus en plus répandus. Dernier exemple en date : Amy Winehouse, la diva soul anglaise, qui avait marqué le monde avec un album sorti en 2006 intitulé Rehab  et décédée en 2011, va entamer une nouvelle tournée mondiale. Tout ça est très lucratif. En France, en 2017, il y avait eu Hitparade, un concert réunissant sur la même scène Dalida, Claude François, Sacha Distel et Mike Brant...

En politique, le précurseur Mélenchon

Alors demain, aurons-nous tous notre hologramme ? On se souvient de Jean-Luc Mélenchon pendant la campagne présidentielle et son hologramme à 50 000 euros.  Au sommet de l’Etat on aurait également tenté l’expérience en demandant l’hologramme de l’électricien de l’Elysée parti à la retraite : on a vu le résultat avec le discours d’Emmanuel Macron... Tous les hologrammes ne sont pas des réussites !
Prochaine expérience avec la Callas. Elle sera  avec 60 musiciens autour d’elle à la salle Pleyel en novembre prochain  Un show qui a déjà tourné aux Etats-Unis et qui a divisé le monde de la musique classique et de l’opéra, craignant que ces artistes au fort pouvoir d’attraction ne deviennent que des attractions.

Des hologrammes post mortem, la fin des mythes ? "Ce week-end j’ai dragué James Dean sur un site de rencontres" : il va falloir s’habituer à cette phrase. En attendant, il nous reste toujours un peu de musique.