T'as vu l'info ? Ferrari perdue à Londres
Une Ferrari est, semble-t-il, abandonnée depuis bientôt deux ans dans une rue de Londres. Qui est son propriétaire ? Guy Birenbaum a bien une petite idée.
Je suis très ennuyé parce que grâce à Turbo.fr, j’ai trouvé une Ferrari abandonnée dans les rues de Londres. Et je me demande vraiment à qui elle est. D’après le quotidien The Sun, ça ferait deux ans que cette Ferrari 456 de couleur noire est garée à la même place. Très précisément sur Hans Crescent, dans le quartier de Knightsbridge, à Londres ; un des quartiers les plus chics de London. Si on en croit The Sun le propriétaire de la voiture n’y a pas touché pendant plus de deux ans puisque la vignette affichée qui autorise sa circulation (cf la taxe que doivent payer toutes les voitures au Royaume-Uni) expirait en avril 2015. Mais le propriétaire aurait payé les taxes jusqu'en 2017 bien que la vignette ne soit pas affichée.
Appartient-elle à un candidat à la présidentielle française ?
La police municipale est sur le coup, la Ferrari est immobilisée avec un sabot et la fourrière va passer ou est déjà passée. Alors elle est un peu abîmée mais il y en a quand même pour 70 000 livres, environ 80 000 euros. Qui a abandonné sa Ferrari ? Mon mauvais esprit tout entier tourner vers la présidentielle me conduit à deux hypothèses. S’agit-il de la Ferrari d’un des riches donateurs londoniens de la campagne d’Emmanuel Macron ? Ou alors, cette Ferrari appartient-elle à un candidat à la présidentielle française qu’on a déjà vu au volant d’une Ferrari ? Un candidat pilote de course à ses heures perdues ? Un candidat dont, en plus, la femme est d’origine britannique ? En plus François Fillon, que ce soit une voiture avec une conduite à droite ça ne le dérange pas du tout.
Notez bien que la conduite à droite ne gêne pas non plus les amis de monsieur Macron. J’arrête de me moquer. Le vrai propriétaire de cette Ferrari finira bien par se manifester et peut-être qu’il se mettra à chanter quand il ira récupérer son auto :
Le dicton du jour
À la Saint Amédée, on ne va quand même pas pleurer pour un propriétaire de Ferrari dépossédé.
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