Un projet de smartphone étanche, résistant et souple

Incassable, étanche, souple… Voilà le smartphone idéal selon les créateurs du futur Portal, c’est son nom. Un appareil étonnant. Imaginez :un téléphone aussi souple qu’une feuille de papier que l’on peut tordre dans tous les sens et même fixer à son poignet avec un bracelet. Plus besoin de montre connectée. On pourra le faire tomber par terre et le cogner sans états d’âmes et même l’utiliser sous la pluie puisqu’il sera complètement résistant et étanche.

Un smartphone sous Android, plutôt grand format (entre quatre et six pouces), avec des petites caméras sur les bords. Bref, le gadget ultime !

Et il sort quand ?

Ce n’est pas demain la veille. Car, pour l’instant, ce n’est encore qu’un projet sur le site de financement participatif Indiegogo. Ses créateurs recherchent 300.000 dollars. Ils en ont déjà récolté environ 10%. Si vous êtes prêt à débourser 350 dollars, on vous promet un exemplaire à partir de septembre 2015, dans un an.

Les photos de concept diffusées sur le Web font rêver. L’appareil semble se réellement tordre dans tous les sens.

Mais attention, tout cela a une petite odeur de « fake », de blague. On ne voit pas bien comment cette société sortie de nulle part, qui se nomme Arubixs, pourrait réussir là où les grands noms du secteur tardent à montrer ce qu’ils savent faire.

Le Portal devrait être doté d’un écran OLED en polycarbonate flexible avec une batterie souple également. Très bien. Mais pour l’instant, Apple, Samsung ou LG, les géants de la téléphonie mobile, n’ont encore rien montré qui ressemble à cela donc on est en droit d’en douter.

Le smartphone idéal ?

S’il est permis de rêver, je dirais un smartphone non seulement souple, résistant et étanche mais également qui change de taille. Comme ça, pas besoin de choisir entre un grand ou un petit écran. Et puis, surtout, ce qui compte aussi c’est le logiciel et l’ergonomie du système pour qu’il s’intègre parfaitement à notre écosystème numérique tout en restant simple à utiliser.

On a le droit de rêver, hein ?