L'Europe choquée par la fermeture de la télévision grecque
En décidant cette fermeture sans concertation, le premier ministre Samaras ne s'attendait pas à une telle réaction en Europe et à l'international. De même, il a été surpris par la réaction populaire dans son pays, car les grecs n'étaient pas attachés à leur service public, critiqué pour sa propagande gouvernementale, quel que soit le camp au pouvoir.
Comme dans le reste de l'Europe, les irlandais ont été frappés par cette décision. Le premier ministre grec complique la situation : ses alliés au gouvernement n'approuvent pas sa décision, ce qui peut ouvrir une nouvelle crise politique alors que le pays n'est pas sorti des difficultés.
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