"Jayne Mansfield 1967" de Simon Liberati
"Aux basses heures de la nuit, le 29 juin 1967 sur un tronçon de la route US 90 qui relie la ville de Biloxi à la Nouvelle Orléans, une Buick Electra 225 bleu métallisé, modèle 66, se trouva engagée dans une collision mortelle."
L'un des meilleurs romans de la rentrée littéraire, très bien écrit, sulfureux, car il retrace le dernier feu de l'actrice Jayne Mansfield. La dernière star du monde, selon l'auteur, morte à 34 ans dans un accident de voiture.
Dans cette Buick broyée se trouvait une femme, une "Hollywood movie star" de 34 ans, danseuse nue à Las Vegas, célébrissime sex-symbol des années 50.
_ Simon Liberati ressuscite Jayne Mansfield, l'actrice méconnue la plus photographiée au monde, fouille amoureusement dans les recoins les plus ténébreux de sa vie, retrace ses dernières heures en plein été hippie, qui disent aussi le crépuscule de l'âge d'or hollywoodien. Au programme : perruques-pouf, LSD 26, satanisme, chihuahuas, amants cogneurs, vie desaxée, mort à la James Dean, cinq enfants orphelins et saut de l'ange dans l'underground.
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