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Cynisme et individualisme dans "Miss Balla" et "Margin Call"

Deux films sélectionnés cette semaine : l'un est mexicain, l'autre est américain. Malgré leurs différences, deux films qui parlent de requins sans scrupules dans un monde contemporain. Qu'il s'agisse de narcos mexicains ou de traders de Wall Street, le cynisme et l'individualisme sont les traits humains de ces tristes héros.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
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Miss Bala de Gerardo Naranjo   Au
Mexique, pays dominé par le crime organisé et la corruption. Laura et
son amie Uzu s’inscrivent à un concours de "Miss Beauté" à Tijuana. Le
soir, Laura est témoin d’un règlement de compte violent dans une
discothèque, et y échappe par miracle. Sans nouvelle d’Uzu, elle se rend
le lendemain au poste de police, pour demander de l’aide. Mais elle est
alors livrée directement à Nino, le chef du cartel de narcotrafiquants,
responsable de la fusillade. Kidnappée, et sous la menace, Laura va
être obligée de rendre quelques "services" dangereux pour rester en vie.

Margin Call de J.C. Chandor

Pour survivre à Wall Street, sois le premier, le meilleur ou triche.
La dernière nuit d’une équipe de traders, avant le crash. Pour sauver
leur peau, un seul moyen : ruiner les autres…

 

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