Le pape à Chypre pour sensibiliser au sort des migrants, le tennis féminin hausse le ton face à la Chine, la littérature jeunesse veut prouver qu’elle est un genre a part entière
Aujourd’hui, Le Quart d’heure vous emmène à Chypre, symbole de la crise migratoire, où s’est rendu le pape François. On vous parle aussi du bras de fer entre la Chine et les instances du tennis féminin, qui s’inquiètent du sort de la joueuse Peng Shuai. Et puis on explore un genre encore trop souvent sous-estimé malgré sa richesse : la littérature pour ados.
Chypre, c'est un pays qu'on connait peu, aux confins de l'Union Européenne. Une petite île de 9.000 km carrés, peuplée d'un peu plus d'un million d'habitants, coupée deux entre la parti turcque et la partie grecque. A peine 25.000 catholiques y vivent, et c'est pourtant là que le pape François a choisi de se rendre pour son 35ème voyage à l'étranger. Car Chypre est un lieu où s'incarne la crise migratoire, un sujet central pour le souvenrain pontife depuisson élection en 2013, analyse le sociologue François Héran pour le Quart d'Heure.
On vous emmène aussi à Pékin, à deux mois de l'ouveture des Jeux Olympiques d'Hiver. Les tensions montent entre la Chine et le monde du sport, tout particulièrement du tennis féminin, qui donne des explications sur la soudain disparition de la joueuse Peng Shuai. Elle a certes réapparu mais rien ne prouve qu'elle "soit libre de ses décisions et de ses actes", selon Steve Simon le patron de la WTA qui a décidé de suspendre tous les tournois de tennis féminin en Chine.
La littérature jeunesse, dynamique mais mal-aimée
Et puis on vous parle d'un secteur en plein santé : près de 400 millions d'euros de chiffre d'affaires, 1.500 auteurs et illustrateurs, un salon annuel qui vient de s'ouvrir à Montreuil : la littérature jeunesse se porte bien mais elle est encore trop souvent sous-estimée, selon Nathan Lévêque, co-auteur avec son frère Tom d'un guide de la littérature ado, "En quête d'un grand peut-être".
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