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"Les Lys pourpres", de Karin Hann

La reine Catherine de Médicis a deux visages. A cinquante ans, elle négocie avec les protestants avant de fermer les yeux sur la Saint-Barthélemy alors que dans sa jeunesse c'était une sorte de Lady Diana.
Article rédigé par Philippe Vallet
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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C'est ce dernier aspect de l'italienne que la romancière Karin Hann dépeint dans son nouveau livre. Un roman d'amours, d'intrigues et de trahisons où les favorites se disputent les faveurs de François 1er et de son fils Henri II tandis que se préparent les guerres de religion.

Les Lys pourpres , de Karin Hann est publié aux éditions du Rocher (322 p., 20E) Note : ****  

 

Mot de l'éditeur
  1. La cour du roi François Ier est fastueuse. Un mouvement magnifique
    venu d'Italie, la Renaissance, exalte la beauté dans les arts.
    Architecture, peinture, sculpture : François est un esthète, un roi
    bâtisseur. Mais ses décisions politiques sont souvent influencées par sa
    redoutable et ambitieuse maîtresse, Anne de Pisseleu, duchesse
    d'Etampes.

    Arrivée de son Italie natale, la petite duchessina, Catherine de
    Médicis, a épousé Henri, duc d'Orléans, deuxième fils de François Ier
    mais la mort prématurée du dauphin la propulse au rang de dauphine.

    La voici, contre toute attente, appelée à devenir reine de France.

    Une femme sensible, aimante, pertinente et attachante, installée dans une époque flamboyante qu'elle marquera de son sceau.

    Une histoire, un destin. Un roman.

 

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