Le journal des Outre-mers. Macron en Guyane appelle à ouvrir "une nouvelle page" avec les territoires outremer
Emmanuel Macron en visite en Guyane : sx mois après le grand mouvement social du printemps, le président de la République a confirmé l'aide de l'état pour développer la collectivité.
Accueilli à Cayenne par des manifestations de Guyanais en colère, Emmanuel Macron a rappelé les engagements de l’état : un plan d’un milliard d’euros d’investissements pour aider le département à se développer.
90 gendarmes supplémentaires en 2018 pour la Guyane
Sur le volet sécurité, le président a rappelé l’arrivée de 90 gendarmes supplémentaires en 2018. Ce qui a rassuré les maires de Guyane, inquiets de la hausse de la criminalité sur le territoire. D’autant que "Les grands frères", un groupe d’hommes qui s’est formé pendant la crise sociale en mars dernier, ont décidé de régler les problèmes de violence par eux-mêmes. Jeudi, ils ont démantelé un squat de Cayenne dans lequel vivaient des trafiquants de drogue. A la grande satisfaction des habitants du quartier. Propos recueillis par Nicolas Pietrus, de Guyane 1ère.
Un bâtiment de la marine Nationale a saisi 600 kilos de cocaïne sur un voilier au large de la Nouvelle-Calédonie. L’opération a eu lieu le 20 octobre dernier mais le parquet l’a annoncé seulement mercredi. Trois personnes, un Néerlandais, un Polonais et un Hispano-péruvien, ont été interpellées. La drogue a été détruite dans les fours de la société Le Nickel, à Nouméa.
Harcèlement de rue en Martinique
Balance ton porc, Me too, des hashtag qui libèrent la parole des femmes sur la question du harcèlement sexuel depuis deux semaines. A Paris, le gouvernement planche sur une loi qui sanctionnerait ce genre de comportement. En Martinique, le harcèlement des femmes dans la rue existe aussi. Un reportage de Corinne Jean Joseph de Martinique 1ère à Fort de France.
Des chiens errants sèment la panique à La Réunion
Quand dans l’Hexagone les éleveurs s’inquiètent du retour des loups, à la Réunion, il suffit de chiens errants pour semer la panique. Un éleveur de cabris de Saint-Louis a découvert un matin son cheptel décimé, une trentaine de bêtes égorgées. Et ce n’est pas la première fois. C’est même la troisième attaque depuis avril dernier. Et surtout celle de trop ! Un reportage de Suzette Emma de Réunion 1ère.
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