Le Roux et Dieudonné : "C'est le racisme l'ennemi public N°1"
"Il y avait urgence. Chacun a considéré qu'il y avait là nécessité à dire très vite le droit pour éviter, justement, le trouble à l'ordre public " a affirmé Bruno Le Roux. Et il "(se) félicite que le Conseil d'Etat ait jugé en regardant les pièces du dossier. Et en décidant donc que le droit, ce n'était pas de pouvoir, au titre de la liberté d'expression, avoir des propos racistes et xénophobes".
Mais le président du groupe socialiste refuse de limiter ce débat au seul cas de Dieudonné : "C'est le racisme, la xénophobie qui sont l'ennemi public numéro 1. Et je veux dire d'ailleurs à tous ceux qui nous écoutent qu'il n'y a pas là d'axe particulier qui soit véhiculé par le gouvernement autre que celui-ci. Et quiconque demain fera preuve de racisme, de xénophobie contre un membre de la communauté nationale, contre une confession de notre communauté nationale, se verra appliquer la même rigueur".
Enfin sur la Une de Closer de ce vendredi, Bruno Le Roux a été très bref : "C'est une affaire totalement privée. La politique ne se fait pas dans la presse poubelle."
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