Florange-EPR : la colère d'EELV contre ceux qui "sabotent" l'avenir

Je comprends que les syndicats soient déçu s a expliqué Pascal
Durand. "C'est insupportable de voir les coups de menton des uns et des autres.
On a des solutions, on les a plus. D'une manière générale, dés que ça touche
comme ça au cœur de l'humain, à l'industrie, à l'avenir d'un pays, les politiques
devraient éviter les effets d'annonce, de se précipiter dans les médias. Ils
devraient garder un minium de silence et travailler. Ils le font d'ailleurs. Pour
des syndicalistes,  des salariés, ce sont
des espoirs qui s'ouvrent, des portes qui se referment..."

Et le secrétaire secrétaire national d'Europe-Ecologie-Les Verts qui a l'honnêteté de ne pas se prononcer sur la possibilité ou non de nationaliser le site, "je n'en sais rien, je ne connaîs pas suffisamment le dossier", fait** tout de même la comparaison entre le coût d'une éventuelle nationalisation du site de Florange, et celui du surcoût de l'EPR.

"Quand on nous explique qu'il n'y a pas d'argent...Il y a des choix qui sont bizarres à comprendre. Essayons de préparer l'avenir plutôt encore une fois de le
saboter."

Un ras le bol évident qui ne signifie pas pour autant que les écologistes ont l'intention de quitter le gouvernement : "Il y a des désaccords. Je ne regrette pas une seconde d'être à l'intérieur du pouvoir et d'essayer d'agir. Nous avons vocation à essayer de convaincre".