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NanoFlowcell : des batteries automobiles à l’eau salée

Comme chaque année à Genève, le Salon de l’auto suisse affiche complet. On en a déjà beaucoup parlé cette semaine, mais on y a découvert des nouveautés étonnantes.
Article rédigé par Denis Astagneau
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 5 min
  (La QUANT F présenté en mars à Genève © Quant)

Dans les années 50, un inventeur français affirmait en avoir découvert le principe et plusieurs journaux s’étaient fait piéger. Car l’eau, matière abondante qui remplacerait le pétrole comme carburant, ce serait la découverte absolue, la pierre philosophale de la mécanique qui rendrait les transports, mais aussi l’énergie en général, accessible à tous, à moindre prix.

Ce qui fait tout plein fait, 400 kilos de plus pour la voiture, elle-même en fibre de carbone et alu. Mais je suis sûr que les autres constructeurs vont s’y intéresser. Après tout, Nicolas Tesla qui a été cité à côté d’Einstein par un ingénieur était un inventeur méconnu du XIXe siècle, dont le nom a été repris par la firme californienne qui fabrique justement des voitures électriques, disons… plus traditionnelles.

 

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