Cet article date de plus de huit ans.

Les breaks redeviendraient-ils à la mode ?

On les pensait morts et enterrés par la vogue d’abord des monospaces, puis par celle des crossovers. Hé bien non, les breaks sont toujours là !
Article rédigé par Denis Astagneau
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
  (© Renault)

Les breaks représentent toujours 30% des modèles vendus en Europe. Et pas seulement aux artisans et aux commercants. Les marques Premium comme Audi BMW ou Mercedes n’ont jamais abandonné le break. Donc Renault n’a pas voulu que Talisman sa berline haut de gamme, soit privée d’une telle carrosserie. Voici donc la Talisman Estate, seulement 1 cm plus longue que la berline, plus pratique à charger et à mon avis presque plus élégante. Cela permet à Renault de rajeunir la clientèle de haut de gamme.

Avantage de ce break, le toit est plus haut à l’arrière et donc davantage de place sous le plafond pour les passagers. Un gadget, les feux avant et arrières allumés de jour comme de nuit. Ce qu’on appelle une signature lumineuse. Et, puis le hayon arrière qui s’ouvre d’un tacle du pied sous le pare-choc, ça on le connaissait dejà chez Volkswagen et qui se referme avec le même mouvement sous le pare-choc, ça c’est Renault. Comme d’ailleurs les 4 roues directrices, une première sur un break. Très utile en ville pour manœuvrer et sur route pour garder le cap dans n’importe quel virage même chargé à bloc. C’est une option possible sur toutes les versions. Le break coute 1.400 € de plus que la berline donc de 29.000 à 42.000 €.

Mais ne nous y trompons pas, 70% son destinés aux professionnels et aux flottes d’entreprise. Et seront donc en version diesel, pour economiser le carburant.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.