Bluecub à Bordeaux : après Paris et Lyon, des voitures électriques en autopartage à Bordeaux
C'est exactement le même système qu'Autolib, à Paris.
D'ailleurs, c'est la même organisation ; ce sont les mêmes voitures – les "Bluecar", de Bolloré ; ce sont les mêmes stations, les mêmes types d'abonnement : tout est identique – sauf le nom : "Bluecub" !
Même fonctionnement que pour les Autolib, à Paris
C'est de la location payante. Par abonnement, ça coûte 19,90 €, par mois ; ou 99 €, à l'année.
Et pour chaque trajet, vous payez 3 € le premier quart d'heure ; ensuite, c'est 20 centimes de plus, par minute d'utilisation.
Ça met la demi-heure à 6 €, et l'heure à 12 €.
Sans être abonné, vous pouvez aussi utiliser ces voitures ; ça vous coûte alors un peu plus cher : 9 € la demi-heure.
Qui va utiliser ces voitures électriques ?
C'est peut-être un peu une utopie de croire que ces voitures en "auto-partage" peuvent servir pour des trajets "domicile-travail".
Il faudrait des milliers, et des milliers de voitures, pour répondre aux besoins de déplacement, aux heures de pointe.
C'est plus de l'utilisation d'appoint, ponctuelle, pour des trajets en journée ; et plutôt en dehors des heures de d'affluence.
Et ça ne limite pas forcément le nombre de voitures en circulation.
D'après l'expérience d'Autolib, à Paris, il y a finalement assez peu d'utilisateurs qui abandonnent leur voiture personnelle, pour utiliser ces voitures en auto-partage.
Les abonnés sont plutôt des personnes qui n'avaient pas spécialement de voiture (qui utilisaient les transports en commun) ; et qui se sont mis à utiliser cette nouvelle offre de transports.
En Bref...
La boulette du jour...
Le nouveau numéro 2 de Peugeot-Citroën, Carlos Tavares, vient de chez Renault.
Il vient tellement de chez Renault que, sur sa première photo officielle, il a été pris avec un pins de chez Renault.
Petite boulette qui a été vite rectifiée !
Des prévisions pessimistes, pour les ventes de voitures japonaises, en 2014
Des prévisions pessimistes, de la part du président de Toyota..
Le cours élevé du yen devrait freiner les exportations.
Et, en Chine, le conflit qui oppose Japonais et Chinois au sujet des îles de Senkaku pénalise les ventes de voitures japonaises.
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