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Les adieux de "Plus Belle la Vie" : "On ne voulait pas de fin triste" déclare le directeur général de la production, Vincent Meslet

Le directeur général de Newen, Vincent Meslet, qui produit le feuilleton de France 3, ne ferme pas la porte à un retour.

Article rédigé par Célyne Baÿt-Darcourt
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 93 min
Vincent Meslet, directeur général du groupe Newen.  (FRANCE INFO / RADIO FRANCE)

Dix-huit ans que les habitants du quartier fictif du Mistral s’invitaient dans notre salon chaque soir. Après des débuts difficiles en 2004, la série Plus Belle la Vie s’est finalement installée dans le cœur des Français, avec des pics à sept millions de téléspectateurs dans les années 2000. Tombée sous la barre des trois millions, l’audience a eu raison du pionner des feuilletons quotidiens, dont les derniers épisodes seront diffusés vendredi 18 novembre.

France 3 proposera une soirée spéciale avec deux inédits dès 20h15 suivis d’un prime time et d’un documentaire. "On ne voulait pas de fin triste", explique sur franceinfo le directeur général de Newen, Vincent Meslet. C’est donc un épilogue joyeux qui est offert aux fans. Festif et ouvert, histoire de ne pas insulter l’avenir. On ne sait jamais, Plus Belle la Vie pourrait ressusciter plus tard sur une autre chaîne, une plateforme ou pourquoi pas sous forme de spectacle vivant. Tout est possible, même s’il est "encore trop tôt pour évoquer la suite", précise Vincent Meslet, invité média de Célyne Baÿt-Darcourt, aux côtés d’Anne Décis, comédienne historique de la série.

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