Des places par milliers pour les sans-abris ! Et l'histoire de l'évadé qui veut retourner en prison

Une information étonnante en plein débat sur la
précarité et l'aide aux plus démunis : il y a des logements disponibles pour
les sans-abris, et même par milliers. C'est le patron d'Adoma,
(l'ex-Sonacotra), qui affirme pouvoir libérer progressivement 20 000 chambres
ou appartements pour loger des sans-abri, dans ses foyers en cours de
rénovation ou dans des HLM situés hors des grandes agglomérations et qui
comptent de très nombreux logements vides immédiatement disponibles. A lire dans le Parisien et Aujourd'hui en France .

Une sorte d'appel à l'aide : après la mise en cause récente de la
situation à la prison des Baumettes à Marseille, c'est une nouvelle fois les
conditions de détention dans les prisons françaises qui sont à la Une... Avec une affaire assez exceptionnelle puisque c'est un détenu en cavale qui
fait la Une de l'Echo républicain . Ce qu'il demande est en apparence tout simple : il veut juste
retourner en prison. Car Stéphane Raye est en voie de réinsertion, il était
d'ailleurs sur le point de finir sa peine.
Son histoire, racontée par Eric Moine dans l'Echo républicain , c'est celle
d'un détenu du centre de détention de Châteaudun menacé de mort par d'autres
détenus, ceux qui dit-il "tiennent la prison ", les dealers, qui veulent le punir de son refus de participer au trafic de drogue. Il ne demande qu'à retourner en prison finir sa peine, mais pas à Châteaudun où il craint pour sa vie.

Une histoire extraordinaire, une étonnante première médicale qui est
découvrir dans le Figaro : le virus du sida transformé en arme anti-cancer pour sauver une fillette d'une leucémie.

L'invitée de l'Hyper revue de presse : Françoise Huguier, l'une des grandes photographes françaises, pour son reportage dans Polka Magazine , en partenariat avec France Info. Elle a eu le privilège d'être admise dans un endroit exceptionnel, la maison parisienne du peintre Jean Lurçat. Les lieux sont restés en l'état, comme s'il venait de partir, alors qu'il est mort en 1966.