Françoise Lorenzetti a tout financé. Elle a elle-même monté les meubles. Parce que pour elle, "la générosité relève de l'idée de justice, pas de la charité ". Aujourd'hui, étudiants, retraités, jeunes travailleurs, mères isolées y cohabitent et s'entraident. Habitués aux chambres insalubres, la plupart ont cru s'être trompés d'adresse en arrivant au 47 rue de Chabrol à Paris. Françoise Lorenzetti cherche de nouveaux immeubles pour renouveler l'expérience. "Un pari sous les toits ", un reportage du journaliste et réalisateur Frédéric Laffont à lire dans le numéro 25 de la revue XXI, actuellement en vente en librairie.