Cet article date de plus de treize ans.

Les vertiges de Quito

Dessinateur, scénariste, il est l’auteur de bandes dessinées, Jean-Claude Tergal, Les Poissart ou Raymond Calbute. Pour XXI, il signe "Ma Rue à Quito" un récit graphique sur Quito, la capitale de l’Equateur, une ville dans le ciel, pleine de magie, de séduction.
Article rédigé par Célyne Baÿt-Darcourt
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
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Ma Rue à Quito est l’histoire de la rue où à séjourné Didier Tronchet. Une rue qu’empruntaient les conquistadors pour aller découvrir l’Amazonie.
_ Ville carrefour du continent sud américain, Quito est aussi au centre de dangers permanents, séisme, crachs d’avions, criminalité.
Une situation qui donne une philosophie de vie particulière aux habitants qui ont une urgence de vivre, de faire la fête, d’être heureux, mais aussi un sens de l’humour noir.

  • Ma Rue à Quito, un reportage en bande dessinée, à retrouver dans XXI.

    Le Mot de Revue XXI

    Une ville à 2850 mètres d’altitude, accrochée aux flancs du volcan Guagua Pichincha. Des grattes-ciels au bord du vide, des avions qui parfois manquent la piste et une rue, une seule, qui permet d’accéder à la plaine.
    Voici Quito, une ville où l’on vit dans le ciel quand il ne tombe pas sur la tête. Et la rue Camino de Orellana, qui dévale et serpente sur six kilomètres.
    Accrochez vos ceintures !

  • L’univers de Didier Tronchet

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