Le harcèlement à l'école peut commencer dès le CP/CE1
Cette campagne met l'accent sur le cyber harcèlement, qui toucherait quatre enfants sur dix. Cela passe le plus souvent par des photos humiliantes publiées sur facebook, des
insultes par SMS, des rumeurs lancées sur le net ou l'exclusion d'un groupe sur un réseau social.
Mais le harcèlement peut commencer bien avant les premiers pas sur les réseaux sociaux ou l'utilisation du smartphone. Dès les
premières années de l'école primaire, le harcèlement peut prendre des formes très
diverses : du simple vol de goûter qui va se répéter, jusqu'au racket, en
passant par les insultes, les coups, les moqueries.
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Ne rien dire c'est devenir complice
Ces violences, quelles que soient leur forme ou leur gravité, ont des conséquences très graves : perte de confiance, décrochage scolaire, dépression.
Quand on est témoin de harcèlement, ne rien dire c'est devenir complice. Il faut donc les dénoncer, en parler aux adultes qui ont pour devoir de régler le problème.
Cette semaine, le ministère de l'Education nationale a mis en ligne un site spécial pour donner aux enseignants, éducateurs, parents et enfants, tous les outils nécessaires pour s'informer et s'attaquer au harcèlement.
Catherine
Jacquet, directrice générale de l'association Les Petits Citoyens, répond aux abonnés à Mon Quotidien , le quotidien des 10-14 ans.
Au micro : Rose,
Cabou, Idriss et Alhousseine, en sixième au collège Clément-Guyard de
Créteil (94).
Salon du livre et de la presse jeunesse
Des
milliers de livres pour les enfants de tous âges, une librairie virtuelle que
l'on commande avec une Kinect, 200 auteurs invités, on peut les rencontrer,
discuter avec eux : le Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil (Seine-Saint-Denis) est ouvert jusqu'à lundi.
Un salon où les ados participent, vendredi soir, à des battles pour défendre
les livres qu'ils ont adorés. Et où les enfants remettent aussi leurs propres prix
littéraires, comme les grands
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