Robert Guediguian : "Pas de mélodrame sans musique populaire"
Encore une fois, on est à Marseille et encore avec la même bande de copains. Mais le temps a passé, les idéaux se sont étiolés. L'occasion de signer un film sur la transmission de ces valeurs, sociales notamment, et de l'engagement de jeunesse.
Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Comment la classe populaire a-t-elle traversé ces années ? Un film pour refaire le point sur l'état du monde, celui des "pauvres gens ".
Le pitch :
Bien qu’ayant perdu son travail, Michel vit heureux avec Marie-Claire. Ces deux-là s’aiment depuis trente ans. Leurs enfants et leurs petits-enfants les comblent. Ils ont des amis très proches. Ils sont fiers de leurs combats syndicaux et politiques. Leurs consciences sont aussi transparentes que leurs regards. Ce bonheur va voler en éclats avec leur porte-fenêtre devant deux jeunes hommes armés et masqués qui les frappent, les attachent, leur arrachent leurs alliances, et s’enfuient avec leurs cartes de crédit… Leur désarroi sera d’autant plus violent lorsqu’ils apprennent que cette brutale agression a été organisée par l’un des jeunes ouvriers licenciés avec Michel.
Réalisé par Robert Guédiguian
Avec Ariane Ascaride, Jean-Pierre Darroussin, Gérard Meylan
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