Marcel Campion : "lire me désénerve"
Dès qu'il a quelques heures de libre, Marcel Campion ouvre un livre, quel qu'il soit. "Ca m'apporte un certain apaisement. J'oublie les soucis de la journée. Ça me 'désénerve'." Le forain se souvient des romans de Jack London qui ont marqué son adolescence. Et de "La condition humaine " d'André Malraux. En revanche, il ne s'identifie pas aux héros de romans. "J'ai moi-même eu une vie un peu tumultueuse, en quelque sorte j'ai déjà vécu des romans!"
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