Marc Trévidic, le juge amoureux de poésie
Marc Trévidic lit "toujours plusieurs livres à la fois : un essai, un roman et de la poésie" . Sur sa table de chevet, il pioche parmi 3 ou 4 livres selon l'humeur. En ce moment, il alterne entre le roman de Patrick Besson "Mais le fleuve tuera l'homme blanc" , "Le nouveau Moyen Orient" de Jean-Pierre Filiu et "L'anthologie de la poésie anglaise."
Ce goût pour la poésie lui est venu vers l'âge de 16 ans. "J'ai commencé à lire Byron avec 'Don Juan' et puis je me suis intéressé à l'époque romantique anglaise."
Pour le juge, ce sont "des moments privilégiés" . La poésie lui permet de "lire par petits bouts, pendant un quart d'heure pas plus si je me sens fatigué. C'est encore plus efficace qu'un roman, parce qu'il y a une captivation des mots, du jeu d'écriture, de la pensée de l'auteur qu'il faut essayer de deviner."
En revanche, le magistrat préfère rester éloigné des romans policiers : "Soit ils m'énervent parce que je ne les trouve pas crédible. Soit ils sont très bien fait et ça m'énerve aussi, car je n'arrive plus à m'arreter!"
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