Cet article date de plus d'onze ans.

Chanson et #machtapur

On s'amuse sur les réseaux sociaux avec ce mot fictif qui nous rappelle que toute notre culture populaire - et évidemment la chanson - est pleine de ces inventions farceuses ou poétiques.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
Publié Mis à jour
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Un petit phénomène amuse de manière récurrente sur les réseaux sociaux
depuis deux ans environ : le machtapur – ou plutôt #machtapur.

On lit sur Internet que les
machtapur furent les vainqueurs des bachi-bouzouks, on lit toutes sortes
d'explications fantaisistes, poétiques ou canulardesques, qui reviennent de
manière cyclique. Le but du jeu est surtout de s'amuser avec les moteurs de
recherche et de jouer avec l'abstraction. Et, sur ce sujet-là, la chanson a
beaucoup travaillé...

 

Les chansons et
archives de la chronique d'aujourd'hui :

Jehan Jonas : Mais où sont les
bricdards ?
(1966)

Talking Heads : Psycho Killer (1977)

Eliane Thibault : *Supercalifragilisticexpialidocious

  • (bande originale de Mary Poppins, 1964)

Serge Gainsbourg : Comic Strip (1967)

Jocelyne : La la la (1964)

Michel Polnareff : Ring a Ding (1968)

Georges Moustaki : Yé yé yé (1970)

Georgius : Digadidou (1944)

Maurice Chevalier : Notre espoir (1942)

Anne Sylvestre : Faites-nous des
chansons
(1975)

Jehan Jonas : Mais où sont les
bricdards ?
(1966)

 

 

Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique

 

Les cinquante épisodes d'Un été,
une chanson
, notre chronique de l'été 2012, sont disponibles
ici.

Les livres qui ont accompagné nos chroniques des étés 2010 et 2011, Ces
chansons qui font l'histoire
et Les chansons qui ont tout changé ,
sont l'un
et
l'autre sur le kiosque de Radio-France
et présentent une centaine
d'histoires de chansons historiques, de La Marseillaise à No Woman No
Cry
de Bob Marley, de Ne me quitte pas de Jacques Brel à Tomber
la chemise
de Zebda, de Rock Around the Clock par Bill Haley à Mignonne
allons voir si la rose
...

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