D'abord Julie Gayet.On croyait que la nouvelle favorite du Président, peu soucieuse d'alimenter larubrique people allait bouder la cérémonie des Césars du cinéma, samedi soir.C'est le contraire qui s'est produit. Ce sont les Césars qui l'ont boudée. Ellen'a pas obtenu la récompense du meilleur second rôle. Gardera –t-elle dans lecœur du chef de l'Etat le César du premier rôle ? Pas sur.Car Valérie Trierweillerest toujours debout. Droite dans ses escarpins. Sans doute moins dépressivequ'on ne le dit et dont les mauvaises langues affirment qu'elle manque àFrançois Hollande, lequel lui aurait fait savoir. Ah, les ruptures, comme c'estcompliqué ! En tout cas, pour sa première apparition publique depuisl'affaire du scooter, elle a assisté au défilé Dior au musée Rodin ce qui doitlui changer pas mal des missions humanitaires qu'elle s'était fixées quand elleétait Première dame.Et puis, il y aSégolène. Tout bien réfléchi, c'est peut être elle, l'ancienne compagne dehollande et mère de ses enfants qui a le plus d'avenir. Selon Michel Sapin,ministre du travail et ami personnel de François Hollande, "Mme Royal estune femme qui compte et il n'y aurait aucune raison de se priver de sescompétences". Traduction : en cas de remaniement, Ségolène Royalpourrait redevenir ministre. Et il y a même beaucoup de militants socialistesqui pensent qu'elle aurait fait un meilleur Président que son ex. Mais chut !Faut pas le répéter.