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00h06 : Il est minuit, voici les principales informations développées ce soir par francetv info :
• Le Paris Saint-Germain caressait l'espoir de jouer les demi-finales de la Ligue des champions. Mais le PSG s'est incliné 2-0 sur la pelouse de Chelsea. Les Parisiens n'iront donc pas plus loin que la saison passée. Analyse de cet échec.
• Manuel Valls a obtenu une nette confiance des députés. Mais certains socialistes se sont abstenus. Dans son discours de politique générale devant l'Assemblée, le Premier ministre a annoncé un big bang territorial, ainsi que des allègements de cotisations sur les bas salaires. "Une austérité soft, mais une austérité quand même", selon l'économiste Eric Heyer.
• Le journal de 20 heures de France 2, présenté par David Pujadas, a été interrompu par l'irruption d'intermittents du spectacle et de précaires sur le plateau.
• Le face-à-face entre militants pro-russes et forces de l'ordre continue dans plusieurs grandes villes de l'est de l'Ukraine. De quoi faire remonter les tensions entre Moscou et Occidentaux. Ces derniers redoutent une intervention russe à l'image de celle qui s'est soldée par le rattachement de la Crimée.
00h00 : Qu'ont-ils pensé de la déclaration de politique générale du nouveau Premier ministre Manuel Valls ? François Fillon, Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen et Barbara Pompili répondent à France 2.
(FRANCE 2)
23h53 : Le Medef salue "la volonté" du gouvernement de mettre en œuvre le pacte de responsabilité, mais "attend des précisions sur la baisse de la fiscalité", ainsi qu'une mise en œuvre "plus rapide". Le patronat réagit aux annonces de Manuel Valls dans son discours de politique générale.
23h49 : La CFDT estime que les orientations tracées par le Premier ministre Manuel Valls dans son discours de politique générale "répondent aux principaux défis à relever". La centrale souligne néanmoins que des "questions lourdes demeurent".
22h15 : A (un peu plus de) 22 heures, voici les principales informations de cette soirée :
• Manuel Valls a obtenu une nette confiance des députés. Mais certains socialistes se sont abstenus. Dans son discours de politique générale devant l'Assemblée, le Premier ministre a annoncé un big bang territorial, ainsi que des allègements de cotisations sur les bas salaires. "Une austérité soft, mais une austérité quand même", selon l'économiste Eric Heyer.
• Le journal de 20 heures de France 2, présenté par David Pujadas, a été interrompu par l'irruption d'intermittents du spectacle sur le plateau.
• Chelsea mène contre le PSG 1 à 0, en quart de finale retour de la Ligue des champions, à Stamford Bridge à Londres. Si le score du match en reste là, le PSG sera qualifié.
• L'épidémie de la fièvre Ebola en Afrique occidentale est une des épidémies qui "posent le plus de défis", depuis l'apparition de la maladie il y a quatre ans, estime l'Organisation mondiale de la santé. Au total, 111 personnes en sont mortes.
22h05 : L'UMP a été quasi unanime à rejeter la confiance au gouvernement de Manuel Valls : 197 voix contre et une abstention, Jacques-Alain Bénisti (auquel s'ajoute Jean-Luc Moudenc qui n'a pas voté par erreur et voulait voter contre).
21h49 : "Une austérité soft, mais une austérité quand même." C'est l'analyse d'Eric Heyer, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), après le discours de politique générale du Premier ministre Manuel Valls, cet après-midi à l'Assemblée.

(ERIC FEFERBERG / AFP)
20h28 : L'Association des régions de France (ARF), dirigée par un président socialiste, se déclare "favorable" à la réforme territoriale "ambitieuse" annoncée par Manuel Valls lors de sa déclaration de politique générale.
20h17 : Il est l'heure du JT sur France 2 et du point sur l'actualité à francetv info :
• Manuel Valls a obtenu une nette confiance des députés, après avoir promis "vérité" et "efficacité" pour redresser la France. Le Premier ministre a annoncé un big bang territorial, ainsi que des allègements de cotisations sur les bas salaires.
• Gérard Depardieu est définitivement condamné à une amende pour conduite en état d'ivresse lors de sa chute à scooter en 2012. Mais il échappe à la suspension de six mois de son permis de conduire, car il l'a échangé entre-temps contre un permis belge.
• L'épidémie de la fièvre Ebola en Afrique occidentale est une des épidémies qui "posent le plus de défis", depuis l'apparition de la maladie il y a quatre ans, estime l'Organisation mondiale de la santé. Au total, 111 personnes en sont mortes.
• La police ukrainienne a délogé des dizaines de militants pro-russes qui occupaient le siège de l'administration régionale à Kharkiv. Mais le mouvement en faveur d'un rattachement des régions de l'est de l'Ukraine à la Russie se poursuit.
19h53 : Chez les 17 députés écologistes, 6 se sont abstenus de voter la confiance au gouvernement de Manuel Valls. Noël Mamère, Sergio Coronado, Eva Sas, Christophe Cavard, Laurence Abeille et Michèle Bonneton. Une seule, Isabelle Attard, qui est apparentée au groupe, a voté contre. Les autres ont voté pour.
19h41 : Europe Ecologie-Les Verts n'est pas dans la "logique de la terre brûlée" face au nouveau gouvernement. La secrétaire nationale d'EELV, Emmanuelle Cosse, l'assure depuis la région toulousaine, où elle se trouve pour le lancement de la campagne écologiste pour les élections européennes du 25 mai.
19h28 : On connaît désormais les noms des onze députés de l'aile gauche du PS qui se sont abstenus de voter la confiance au gouvernement de Manuel Valls.
Il s'agit de Pouria Amirshahi, Fanélie Carrey-Conte, Nathalie Chabanne, Pascal Cherki, Jean-Pierre Dufau, Henri Emmanuelli, Jérôme Guedj, Philippe Noguès, Barbara Romagnan, Gérard Sébaoun et Suzanne Tallard.
Une journaliste du Monde en livre le détail sur Twitter.
19h21 : France Nature Environnement n'a pas été convaincue par la déclaration de politique générale de Manuel Valls et estime qu'en matière d'écologie, "on est loin du compte".
En matière d'environnement, le Premier ministre a simplement confirmé que la future loi sur la transition énergétique serait soumise "avant l'été" au Conseil des ministres et que l'engagement de François Hollande de ramener la part du nucléaire à 50% dans la production d'électricité en 2025 y figurerait bien.
19h15 : Un peu de patience, on ne va pas tarder à savoir qui a voté pour et qui a voté contre la confiance au gouvernement de Manuel Valls. Le détail du scrutin sera disponible à cette adresse. Et nous vous en donnerons les principales informations.
19h15 : Où se trouve le détail du scrutin ? Ça ne parait pas encore sur le site AN ?
19h13 : "Nous n'avons, majoritairement, pas voulu créer une crise institutionnelle" en provoquant un renversement du gouvernement.
Laurent Baumel, l'un des animateurs du collectif de la Gauche populaire demandeurs d'un "contrat de majorité" avec le gouvernement, a voté ce qu'il considère comme une "investiture" du nouveau Premier ministre, sans cependant approuver toutes les mesures annoncées.
19h07 : @anonyme : Non, il n'y aura pas de vote "à part" sur l'intégralité du pacte de responsabilité. C'est d'ailleurs surtout pour cette raison que des députés socialistes (peut-être une dizaine) ont refusé de voter la confiance à Manuel Valls.
19h05 : Est ce que le vote de confiance inclut le pacte de responsabilité, ou cela fera-t-il l'objet d'un vote à part ?
19h03 : Outre le groupe socialiste, celui des radicaux de gauche a voté la confiance, ainsi que la majorité du groupe écologiste. Cinq de ses membres se sont abstenus et un seul a voté contre.
Le groupe Front de gauche a voté contre mais plusieurs de ses élus divers gauche d'Outre-mer ont apporté leur soutien au gouvernement.
L'opposition UMP et UDI (centriste) a voté contre, de même que plusieurs non inscrits, comme les deux élus du Front national.
19h00 : En 2012, le score d'Ayrault s'expliquait par le fait que 27 députés de la majorité, devenus ministres, n'avaient pu voter, leurs suppléants devant attendre un délai d'un mois pour pouvoir siéger.
19h02 : Manuel Valls dépasse le score de Jean-Marc Ayrault en 2012. Il a réussi son baptême du feu en parvenant à garder le soutien de la majeure partie de la majorité. Seule une poignée de députés de gauche se sont abstenus, dont cinq Verts. Nous aurons le détail des votes dans quelques minutes.
18h56 : Les députés accordent leur confiance au gouvernement de Manuel Valls par 306 voix pour et 239 voix contre.
18h52 : La cloche a sonné, le vote est clos. Les résultats ne devraient plus tarder à tomber.
18h50 : Manuel Valls fera-t-il mieux que Jean-Marc Ayrault, après sa déclaration de politique générale en juin 2012 ? L'ancien Premier ministre avait alors rassemblé 302 voix.
18h46 : La coprésidente des députés écologistes, Barbara Pompili, le confirme : les membres de son groupe ont accordé la confiance au gouvernement de Manuel Valls.
18h45 : Certains députés reconnaissent la qualité du discours, mais refusent d'accorder leur vote de confiance à Manuel Valls. C'est le cas d'Arnaud Richard (UDI).
18h43 : D'après les informations du Figaro, une dizaine de socialistes pourraient s'abstenir.
18h39 : Le vote de confiance va être ouvert. De quelle majorité disposera Manuel Valls ? S'il n'est pas assuré d'avoir l'intégralité des 291 votes PS, il aurait toutefois 10 voix écologistes (sur 17 députés) et l'ensemble des radicaux de gauche (17).
18h35 : Manuel Valls a proposé dans son discours de politique générale de supprimer d'ici à 2021 les conseils départementaux, nouvelle appellation des conseils généraux. La proposition est loin de faire l'unanimité. Le président socialiste de l'Assemblée des départements de France, Claudy Lebreton, se dit "abasourdi" et dénonce "la brutalité de la méthode".
18h25 : Les députés écologistes voteront majoritairement la confiance au gouvernement de Manuel Valls. Le coprésident de leur groupe à l'Assemblée, François de Rugy, l'a assuré.
18h19 : Manuel Valls vient de finir de s'exprimer à l'Assemblée nationale. La séance est suspendue. Après ces discours, les députés doivent désormais voter la confiance au nouveau gouvernement. Le résultat du scrutin est attendu à 18h50.
18h09 : On retourne à l'Assemblée nationale où le Premier ministre a repris la parole. Manuel Valls répond aux critiques formulées par Christian Jacob, le patron des députés UMP à l'encontre de l'exécutif.
18h03 : Jean Lassalle, dernier à prendre la parole dans le débat sur la politique générale, a évoqué son tour de France à pieds. Peur, colère, rejet du politique : le député-marcheur avait déjà présenté ses impressions, après avoir rencontré des Français de tout l'Hexagone. Retrouvez son compte rendu, dans cet article.
18h00 : Il est 18 heures, voici un nouveau point sur l'actualité :
• Le Premier ministre a prononcé son discours de politique générale, avant d'engager la confiance de son gouvernement, en fin de journée. Voici ce qu'il faut en retenir. Retrouvez tous nos articles sur les différentes annonces en cliquant ici et notre direct par là.
• L'épidémie de fièvre en Afrique occidentale figure parmi "les plus effrayantes" jamais enregistrées depuis l'apparition du virus Ebola, il y a quarante ans, selon l'OMS.
• Privée de son local et de sa subvention par le maire FN Steeve Briois, la Ligue des droits de l'homme se dit "scandalisée" mais "pas du tout surprise", dans une interview à francetv info.
L'ancien chef du renseignement intérieur Bernard Squarcini est condamné à 8 000 euros d'amende pour avoir demandé les factures téléphoniques détaillées d'un journaliste du Monde, pour identifier ses sources, lors de l'affaire Bettencourt.
17h59 : Vous pouvez continuer à suivre les prises de parole à l'Assemblée nationale dans notre direct, en attendant le vote de confiance. Le chef des députés socialistes Bruno Le Roux a cédé la place à Jean Lassalle pour les non-inscrits.
17h51 : La réforme des rythmes scolaires sera "assouplie" après concertation, promet Manuel Valls. Plus de détails dans notre article.
(PATRICK KOVARIK / AFP)
17h30 : Le Premier ministre a débuté son discours par un état des lieux du pays. Il a notamment décrit "la peur lancinante du déclassement" chez les Français. Extrait.
(FRANCE 3)
17h27 : Bruno Le Roux s'exprime en ce moment dans l'Hémicycle. Il succède à André Chassaigne, qui a confirmé que les députés Front de gauche voteraient contre le gouvernement en fin d'après-midi.