Quoi qu'il puisse "avoir à l'esprit", DSK le "garde" pour lui
“Comme tout citoyen français, je m’intéresse à l’avenir de la France” note en passant Dominique Strauss-Kahn qui a donc été suivi pendant un an, à travers la planète, dans ses activités de directeur du FMI.
Tenu par un strict devoir de réserve, DSK n'abordera qu'à la marge des entretiens la question de son éventuelle candidature à la présidence de la République; quelques mots sur la France, une appréciation négative des difficultés d'une campagne électorale, “je ne sais pas si je souhaiterais m’engager là-dedans” et une mise au point :
“Ce n'est pas des sujets légers et donc puisqu'il y a eu des calendriers
qui ont été fixés, tous les gens qui sont susceptibles d'être candidats à
gauche auront à se prononcer à ce moment là. Aujourd'hui, quoi que je puisse avoir dans mon esprit, je le garde pour moi”
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