NKM, la candidate "subversive"
On connaissait "l’électron libre", "l’ambitieuse", voire "l’emmerdeuse", voici Nathalie Kosciusko-Morizet la "subversive". C’est ainsi qu’elle se définit dans le dernier chapitre de son livre Nous avons changé de monde . La candidate à la primaire conclut par un titre en forme de question. "Et si la subversion ultime, c’était une femme à l’Elysée?" Une manière de se poser en challenger, en jouant comme souvent l’iconoclaste.
"Contre les réacs" de tous bords
Nathalie Kosciusko-Morizet a couché sur le papier sa vision de la politique. Et elle a trouvé son créneau : "Nathalie est contre les réacs, de droite comme de gauche ", décrypte l’un de ses proches. A droite ce sont tous ceux qui jouent sur le repli identitaire et qui renient leurs engagements écologistes. Nicolas Sarkozy et François Fillon pour ne pas les citer. NKM en a autant pour ceux qu’elle appelle les "réacs de gauche qui se complaisent dans la manifestation permanente", autrement dit tous ceux qui en ce moment s’opposent à la loi Travail.
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